@Ouam
« ...jusqu’a l’éviction du petit Neron sanitaire qui nous gouverne »
Macron navigue à vue, il a quitté sa « zone de confort » de la libéralisation de l’économie française qui était son programme. Déjà il avait eu à faire à des réactions protestataires sur ses « réformes » (gilets jaunes, grèves et manifs sur les retraites...) où il avait du improviser concessions et replis. Mais la crise covid a vu s’établir dès l’origine la pression des mandarins hospitaliers parisiens catastrophistes, qui a poussé au premier confinement (« à l’italienne ») puis aux différentes mesures de restriction des activités de la vie normale pour « limiter les brassages », leur rêve est la mise en hibernation de tous les habitants pour laisser travailler la routine hospitalière.
Vu le peu de réaction de l’opposition parlementaire « modérée », on voit qu’un autre à sa place aurait fait de même, comme la plupart des dirigeants des autres pays touchés par l’épidémie.
Les courants politiques plus
réfractaires (souverainistes, insoumis...) se sont davantage opposés aux restrictions de la vie du pays, non relayés en cela par les médias
institutionnels. Mais
les plus véhéments opposants étant souvent exaltés pour des théories fumeuses, cela constitue une aubaine pour les tenants de la ligne officielle qui ont beau jeu d’assimiler toute critique à l’adhésion à ces théories.
On verra en 2022 si les urnes éjectent le petit Néron inconsistant, mais il semble paradoxalement recevoir un plus large soutien que sa base électorale, comme sur un navire en perdition l’équipage se resserre autour du mauvais capitaine ;