@pipiou2
Je ne refais pas l’histoire, je la résume afin que cela reste lisible. Vous avez suffisamment de liens pour en approfondir le contenu. Il n’y a pas d’omission cherchant à valider quelque chose de faux. Je n’ai même pas parler du scandale the Lancet sur sa sa publication et vous pouvez constater que cela ne change rien aux faits. Tout reste vrai.
Comme il vous a été dit plus haut mais quand on ne veut pas voir :
« En mars dernier, des médecins ont testé un dosage ahurissant de chloroquine : 600 mg deux fois par jour pendant 10 jours…
…soit deux fois la dose du Pr Raoult, avec une molécule moins sécuritaire (la chloroquine plutôt que l’hydroxychloroquine).
Et contrairement à ce qu’a fait le Pr Raoult à Marseille, ils n’ont pas hésité à donner cette dose énorme de chloroquine à des malades ayant de graves troubles cardiaques.
Résultat : dès le début du mois d’avril, les chercheurs ont dû arrêter l’essai clinique, qui était en train de causer des morts.
Et c’était totalement prévisible, vu les doses énormes utilisées.
Est-ce une forme de « complot » contre la chloroquine, un vieux médicament génériqué qui ne rapporte rien à l’industrie pharmaceutique ?
Ou bien est-ce seulement de l’incompétence crasse, criminelle ? »
En Grande-Bretagne
:
"Dans le grand essai clinique britannique appelé Recovery, les chercheurs ont donné – tenez-vous bien – 2 400 mg d’hydroxychloroquine aux malades le premier jour !
« Recovery utilise une dose que jamais personne n’a utilisé de
2,4 grammes le premier jour c’est-à-dire 4 fois la dose que l’on utilise
à l’IHU », s’est ému le Pr Raoult.
Les manuels de médecine indiquent pourtant qu’un patient moyen qui avale 2 grammes d’hydroxychloroquine en 24 heures doit être hospitalisé d’urgence !"
Le professeur Ioannidis
peut s’en émouvoir également.