Méfiez-vous des complotistes
C’est une opportunité extraordinaire pour notre société d’avoir en direct une situation qui échappe à toute logique et intelligence ordinaire. Cette gestion de crise suscite tellement d’interrogations qu’il faut se méfier de la moindre question sensée et immédiatement la suspecter de complotisme. Le pouvoir et ses sbires s’y engagent solennellement. Ceux-ci ont une mission, réunir les réponses aux questions que l’on doit se poser. Mais attention ! Pas des questions qui ne correspondent aux réponses minutieusement préparées, en temps de crise on ne communique pas dans l’improvisation donc conformez-vous aux questions suggérées chaque jour par les médias officiels estampillés COVID-19. Il y a suffisamment de suggestions pour que vous puissiez authentifier et trouver la question qui sera vôtre. Nous sommes une nation solidaire, lorsque vous parlerez avec votre voisin, vous aurez le plaisir de lui parler de ses mêmes préoccupations. Vous vous sentirez ensuite détendu pour aborder le sujet épineux du temps qu’il fait. Vous n’êtes pas un complotiste.
Par conséquent, comme vous l’aurez compris, il est très mal venu de fréquenter ces bandes de complotistes qui viennent embarrasser le gouvernement, le contraignant sans cesse à rééquilibrer ses réponses par des modifications de communication qu’il ne parvient plus à maitriser ensuite. Tous les jours le gouvernement change d’avis à cause d’eux.
Seul avantage, ce sera leurs fautes si cette opportunité extraordinaire dont je parle finit par devenir incontrôlable. Mais en fait ! Qui contrôle ?
Ne serait-ce pas là, la grande question à ne pas se poser.
Quoi qu’il en soit, Je vais commencer là ou j’estime être le début de cette affaire de COVID-19 :
Alors que la Chine venait de nous annoncer le 31 décembre 2019 l’apparition d’une pneumonie virale identifiée au 7 janvier 2020 et baptisé par l’OMS « 2019 – NCOV » (celui-ci deviendra le COVID-19), le monde entier se mit à regarder la Chine avec étonnement et aussi admiration devant la performance qu’elle accomplissait en construisant un hôpital en si peu de temps.
Mais ce sera le 13 janvier 2020 que tout va basculer. Lorsque la ministre de la santé Agnès Buzyn classe hydroxychloroquine comme substance vénéneuse. Les premiers gènes complotistes se réveillent chez des individus. Ce fut en quelque sorte le déclencheur, pourquoi une molécule sur le marché depuis des décennies devient subitement une substance vénéneuse ?
Déjà cette interdiction soudaine est des plus étranges. Car en 2005, une publication dans le Virology journal établissait une efficacité de l’hydroxychloroquine contre le SARS-CoV. Le coronavirus responsable de l'épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) qui a sévi de 2002 à 2004. On sait depuis 2005 que la chloroquine est un inhibiteur efficace des coronavirus, recherches menées par le National institutes of Health . La COVID-19 est lui aussi un coronavirus appelé SRAS-CoV-2 et partage à 79% son génome avec le SARS-CoV.
Le 18 février 2020 une première étude chinoise publie l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre la COVID-19. Le 25 février 2020 le professeur Raoult en fait autant en montrant une suppression du portage viral en quelques jours sur des patients infectés. Cette efficacité (comme cité plus haut) était connue sur les SARS- CoV. Ses premières études montrent donc qu’il y a également une efficacité contre la COVID-19.
Bien mal lui/leur (la Chine) en prirent. C’est à partir de ce moment là que les médias Officiel vont se déchainer. D’emblée, les journalistes du journal « le monde » qualifieront cette communication sur les résultats de l’hydroxychloroquine de fake news. Probablement pour alimenter leurs magnifiques bases de données sur les fake news. Suivront ensuite les noms d’oiseaux pour les scientifiques non alignés qui deviendront des charlatans. Rien que cela ! Au fil du temps certains seront démis de leurs fonctions, accusés, harcelés, écartés, menacés, emprisonnés.
Des charlatans disent-ils ! Oui mais alors des petits charlatans. Parce que si on se remémore les scandales sanitaires comme le Distibène, l’hormone de croissance, le chloredecone, le sang contaminé, l’isoméride, le médiator, la dépakine, le Dengvaxia etc… Ils ne sont pas dans la cour des grands charlatans.
Le 14 mars 2020 la France reprend espoir dans ses institutions, le ministre français de la santé va donner ses recommandations pour lutter contre la COVID-19. Alors voilà, ce n’est pas compliqué, en cas de fièvre prenez du paracétamol et restez chez vous… Personnellement, pour une maladie qui se présente comme une pandémie, on pourrait trouver autre chose de plus convaincant.
Pendant ce temps, les chinois s’activent à la construction de leur hôpital ! Bah !... Ils sont rigolos ces chinois.
Le 16 mars 2020 le charlatan professeur Didier Raoult persiste en annonçant d’autres résultats encourageant sur l’usage de l’hydroxychloroquine associée à l’Azithromicine .
Le 18 mars 2020 s’ajoute une autre étude chinoise concernant l’efficacité de l’hydroxychloroquine, elle confirme que ce médicament à un bon potentiel pour combattre la maladie.
Le 23 mars 2020 Afin de palier aux manques de respirateurs artificiels, appareil essentiel aux détresses respiratoires, l’État français plutôt que de donner une réponse favorable refuse par son mutisme l’aide des industriels pour sa fabrication. Loïk LE FLOCH-PRIGENT dévoile la réaction d’autres industriels français face à la crise sanitaire « nous avons des prototypes, nous avons proposé d’en faire, et nous n’avons aucune réponse de l’État depuis deux mois. »
Pour les masques ce fut le même scénario.
Toujours le 23 mars 2020 le Haut conseil de santé publique recommande de ne pas utiliser de l’hydroxychloroquine à l’exception des formes graves et hospitalières. Mais le 26 mars, dans les colonnes du journal officiel la limitation aux formes graves disparait du décret. Euréka ? Le charlatanisme triomphe, le professeur Raoult avait bien dit que l’hydroxychloroquine devait être employé seulement au début des symptômes, pas quand il est trop tard. Eh bien NON ! Volte-face du gouvernement et retour aux formes graves et hospitalières uniquement.
Dans cette période, le professeur Raoult avait dit aussi que si l’hydroxychloroquine n’était pas efficace on le saurait très vite et qu’il ne fallait pas attendre pour en commander, constituer des stocks stratégiques d’autant que le coût de l’hydroxychloroquine était très faible (contrairement au Remdesivir annoncé). Nous sommes dans une situation qui normalement demande une réactivité.
Le 26 mars 2020 le professeur John Ioannidis devant ce dénigrement systématique du protocole de soin avec l’hydroxychloroquine s’énerve : « cette possibilité d’utiliser la chloroquine, que j’avais décrite 14 ans plus tôt, pour un médicament que tout le monde connaît très bien, et dont j’ai mis au point deux traitement disponible dans tous les traités médicaux du monde pour une maladie appelée la fièvre Q et une autre appelée la maladie de Whipple, a fait l’objet de délire rarement atteint. Alors que cette molécule a été prescrite chez à peu près 2 milliards de personnes, certains ont délirés sur le risque de mort subite liée à sa prescription, tandis qu’un coup d’œil rapide sur ce qui est notre encyclopédie médicale appelée up to date ne mentionne même pas les antipaludéens dans les causes de ce type d’arrêt cardiaque appelé torsade de pointe…. Trouver une solution simple avec un médicament ancien pour un problème nouveau est quelque chose qui est difficilement envisageable dans nos sociétés. »
Plus tard le professeur Perronne publiera son livre « Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? »
Je crois qu’à ce niveau on peut sérieusement s’interroger ! Ou bien sur l’incompétence du gouvernement ou sur les raisons obscures de priver la population d’un médicament ayant fait ses preuves et en arriver à seulement lui prescrire un antidouleur et anti-fièvre. Est-il permis de penser qu’il puisse y avoir une volonté à provoquer des décès, des décès qui seront supérieurs à la normale en abandonnant des malades chez eux avec du paracétamol sans savoir si on est bien en présence du COVID-19. Dans tous les cas ils seront de toute façon répertoriés comme étant une victime du COVID-19 et basta.
Une autre proposition (autre que les respirateurs et masques) avait été adressée dès le 15 mars au directeur général de la santé Jérôme Salomon, les laboratoires départementaux pouvaient réaliser sous un délai de 15 jours entre 150 000 et 300 000 tests PCR par semaine… Aucune réponse non plus !
On peut même s’inquiéter sérieusement quand dans les EHPAD la seule chose qui fut conseillé était le Rivotril. Parce que le Rivotril ne soigne pas " il a pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation, son administration endort le patient et le soulage de ses douleurs. Il s’agit, lorsque la situation se dégrade d’un accompagnement pour soulager sa souffrance". Je n’invente rien. Ce choix unique est la conséquence d’une incompétence gouvernementale lorsqu’on sait que des industriels se sont proposés à fournir des respirateurs.
Mais les grand médias Officiel se sont principalement offusqués d’entendre parler d’euthanasie… rien de plus. Lorsque je dis incompétence du gouvernement c’est parce que dans un esprit disons normal, il est difficile d’imaginer des desseins obscurs dans des esprits tordus capable d’imaginer des malfaisances à l’encontre de leurs semblables pour uniquement assouvir un pouvoir dirigé par le profit.
Semblables ? Mais le sommes-nous encore vraiment ?
Mais Bon ! le 28 mars 2020 le professeur Didier Raoult devenait la figure centrale des théories complotiste. J’aurais envie de dire un résistant parmi tant d’autres.
Et la Chine qui maitrise sa pandémie. C’est insupportable, les médias Officiels claironnent à qui veut l’entendre que ce sont des menteurs. Sur ce coup là, je me dis que les chinois ont dû employer autre chose que du paracétamol.
« les directives chinoises font le choix de la chloroquine, et il existe également d'autres options thérapeutiques, comme la ribavirine associée au lopinavir/ritonavir et à l'interféron bêta 1b. Une association de ces trois médicaments a donné de bons résultats. Les effets de ces médicaments ont déjà été étudiés au début de l'épidémie pour des raisons historiques : la Chine avait déjà utilisé des combinaisons de médicaments similaires lors de l'épidémie de SRAS de 2003. »
Fin mars, alors que le gouvernement français continu de bloquer la production d’hydroxychloroquine sur recommandation de ces groupes d’experts, on découvre peu à peu dans la presse que nombre de ces derniers était sous lien d’influence avec les grands groupes pharmaceutiques pour la recherche d’un traitement contre la COVID-19. Particulièrement Gilead qui cherche à mettre en place son antiviral « le remdesivir » pour la modique somme de 900 $ par patient.
Pendant ce temps le journal « le monde » continu de publier ses articles au titre révélateur « Coronavirus : les effets indésirables graves s’accumulent sur l’hydroxychloroquine » mettant en avant des troubles cardiaques et des morts soudaines ou inexpliquées.
Pourtant sur les 4 millions de boîtes de Plaquenil qui ont été vendus en France entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019, la pharmacovigilance n’a rapporté que 312 cas d’effets indésirables essentiellement oculaires et cutanéo-muqueux. Sur cette période 21 cas sont des effets cardio-vasculaires sur des personnes atteintes d’une maladie chronique auto-immune grave.
Pour l’essai Discovery et Hycovid, ceux-ci ont brutalement été arrêté, deux essais cliniques sur l’hydroxychloroquine qui tendaient à montrer son efficacité. Les autorités sanitaires françaises ont interdit d’inclure de nouveaux patients, rendant « statistiquement » contestables la fin des résultats. (Le 17 juin 2020) Il s’agit bien de l’hydroxychloroquine que les auteurs de Discovery décident d’arrêter…… mais le remdésivir du laboratoire Gilead lui continue les tests. Etonnant non !
Le professeur Raoult disait « Je fais appel aux journalistes d’investigation, je voudrais bien savoir pourquoi les deux essais comparatifs avec l’hydroxychloroquine faits dans ce pays, Discovery et l’essai fait à Angers (Hycovid) ont été arrêtés prématurément tous les deux, alors que l’hydroxychloroquine donnait des résultats supérieurs au placebo »
Savez-vous pourquoi ? Pourquoi l’Agence du Médicament (ANSM) et les auteurs de l’étude Discovery, aiguillonnée par le ministre Olivier Véran ont décidé de stopper les essais cliniques français sur l’hydroxychloroquine alors que nous sommes dans une pandémie, que nous subissons des confinements, des couvre-feux et une destruction sociale à tous les niveaux.
Comme on le sait aujourd’hui, le Remdesivir s’est avéré être inefficace. Même l’OMS a fini par demander à ce qu’il ne soit plus utilisé. Mais c’était le Remdesivir qui devait avoir la place, une place très chère contrairement à l’hydroxychloroquine au coût ridiculement bas. Il faut savoir quand même que plusieurs auteurs de Discovery et membres du Haut Conseil ont eu, ou ont encore aujourd’hui des liens avec le laboratoire Gilead, qui commercialise le fameux remdesivir.
Les sommes perçues ou qui ont été perçues par certaines personnes de ce conseil scientifiques sont assez conséquentes. Les firmes pharmaceutiques, toujours en quête de personnalités, peut transformer d’excellents médecins en stratèges du lobbying au service du secteur privé. Ce conseil scientifique désigné par le pouvoir, celui-ci ne peut être ignorant de ces conflits d’intérêts.
« La Commission européenne a accordé une AMM conditionnelle au remdesivir pour le traitement des cas graves de Covid-19. Cette mesure fait de cet antiviral la première thérapie reconnue dans l’Union européenne dans le Covid-19 chez les patients souffrant de pneumonie et dont il accélère le rétablissement. Pour l’heure, aucune étude n’a cependant permis de prouver qu’il limitait les décès. »
Il y a de quoi hurler avec les complotistes non ? Dès le titre je vous avais dit de vous méfier des complotistes. Reste plus qu’à estimer que tout cela est faux et rester dans le déni total. Nous sommes dans une Politique de la peur, le gouvernement utilise la peur collective de la population pour générer un mécanisme de défense totalement inconscient, une protection face à une réalité angoissante capable de provoquer un effondrement psychique. On se protège de l’angoisse de ce que nous avons en face de nous. ,
Autant le dire, nous avons devant notre porte une société qui s’enfonce dans la dictature avec une facilité déconcertante. Ça donne la chair de poule, c’est effrayant ! Ce déni est une défense qui nous offre du temps, du temps dans sa tête pour se préparer à ce que l’on redoute. Mais cette tétanisation n’empêchera pas l’inévitable.
« Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et sœur Anne répondait « je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie »
Pas l’ombre d’un protocole de soins validé par le gouvernement, seulement des restrictions, pas de suggestion de soins autre que le paracétamol. Pourtant des protocoles capable de sauver des vies, il en existe, hormis celui du Professeur Raoult on trouve ceux-ci : I-MASK+ Prophylaxie et protocole de traitement ambulatoire précoce pour la COVID-19
La thérapie ZIVERDO sur le même principe que I-MASK, utilisation de l’Ivermectine avec une efficacité qui dépasserait celui de la chloroquine. ( autre lien )
Sûrement du charlatanisme que tout cela.
Alors non non non ! nous allons passer à la vitesse supérieure avec un vaccin administré à chaque habitant de la planète. C’est le souhait de Bill Gates. Ce fameux vaccin ARN, celui qui va sauver l’humanité. La société va devoir s’adapter par de nouvelles règles de libertés, passeport vaccinale pour le voyage à l’étranger et le pass sanitaire. La vaccination ne sera pas obligatoire. Mais la vaccination comme condition à la liberté de déplacements des personnes, l'accès à certains lieux, certaines activités… Vous êtes libre de choisir mais le gouvernement (si vous le laisser faire) pourra s’autoriser une sélection au sein de la population, le droit d'accorder ou refuser la liberté de circuler, et peut-être, de travailler, d'accéder à la culture, d'aller à l'école. La liberté aura un prix, mais lequel ?
Que peut-on dire sur ce vaccin ? On retrouve bien évidemment une fois de plus des charlatans (c’est surement un métier). Ce sont pourtant des passionnés de la technologie ARN qui s’expriment pour nous dire ce qu’ils en pensent. Dolorès Cahill, Alexandra Henrion-Caude . Et vouloir vacciner une population entière avec une technologie qu’on ne maitrise pas complètement est une folie sans nom.
Article 222-15 du code pénal
L'administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique d'autrui est punie des peines mentionnées aux articles 222-7 à 222-14-1 suivant les distinctions prévues par ces articles.
Mais ces gens ne comprennent pas le fric de dingues que l’on peut se faire.
Oyez, oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux !! Pire que le bruit des bottes, c’est le silence des pantoufles. « Max Frisch »
Gasty le complotiste
(Photo Gasty)
https://www.aimsib.org/2021/01/03/covid-19-un-simple-changement-de-methode-et-cest-fini/
https://covexit.com/avez-vous-entendu-parler-de-la-therapie-ziverdo-pour-le-covid-19/
https://infodujour.fr/societe/justice/33958-le-rapport-qui-accable-lordre-des-medecins
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/DoloresCahillfinal:0
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