@olivier cabanel
parce qu’il faut écrire ze neca... pas zeneca
Ce qui doit déranger certains esprits vaccinaux et chagrins, c’est le lien mis plus haut sur le Code de Nuremberg, le latin a bon dos...
Si vous entendez un journaliste, ou un expert, ou Véran au hasard, expliquer que les vaccinés sont des cobayes jusqu’en 2022 ou 2023, et que les effets sont inconnus, prévenez nous !
"(...) Les résultats définitifs du vaccin le plus avancé sont promis pour
2023. Les résultats des vaccins anti-covid n’ayant été ni établis, ni
publiés leur utilisation constitue un essai thérapeutique. Or le Code de Nuremberg1 identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie
ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi
qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de
l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet
de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le
renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de
l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers
et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa
personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience ».
Imposer un vaccin expérimental à des soignants viole donc le Code de Nuremberg....etc Docteur Delépine.