Le tueur d’étoiles
Son vrai nom c’est Astra Zeneca, et si par curiosité, vous cherchez la traduction de ces mots latins, vous découvrirez qu’ils signifient « tueur d’étoile »... drôle de nom pour un vaccin... un vaccin qui inquiète pas mal de monde.
Au-delà de cette coïncidence troublante, il est temps de s’interroger sur les « effets secondaires » consécutifs à la vaccination, d’autant que ces vaccins sont en réalité des « messagers » destinés à bloquer la protéine Spike du coronavirus, l’empêchant de se fixer aux cellules, afin d’éviter l’infection. lien
Pour être plus précis, c’est un brin d’ARN qui « commande » aux cellules du corps de fabriquer un morceau du virus, une protéine appelée Spike. Cette protéine est censée provoquer une réaction immunitaire destinée à protéger contre une future infection, sans pour autant provoquer la maladie. lien
En effet, les « vrais » vaccins sont des formes atténuées ou inactivées d’un agent infectieux, alors que les Pfizer, AstraZeneca, Moderna & Cie sont des formules à acides nucléides, et même si l’Inserm affirme qu’il n’y a pas de risque pour notre matériel génétique, (lien) nombre de scientifiques restent inquiets quant aux effets secondaires à court, mais surtout à long terme.
On se souvient que le Professeur Éric Caumes, épidémiologiste à la Pitié Salpêtrière, avait assuré dans plusieurs médias qu’il était réticent à recevoir le vaccin Pfizer, car « il n’avait jamais vu une fréquence d’effets indésirables aussi élevée ». lien
Il a fait volte-face quelques mois après...
Quoi qu’il en soit, la Norvège a enregistré fin janvier 33 décès parmi les personnes âgées après la 1ère injection, et si des cas similaires ont été signalés aussi au Danemark, en Finlande, Islande, Suède, on assure en haut lieu qu’aucun lien direct avec le vaccin n’a été établi. lien
Une polémique est en train de gonfler actuellement sur le fait que seulement le 1/3 des soignants ait accepté de se faire vacciner, mais il n’y a pas grand monde pour rappeler que c’est Alain Fischer, Mr vaccin lui-même, nommé par le gouvernement, qui avait tiré le signal d’alarme.
En effet le 12 février dernier, invité de France Info, a remis en cause l’efficacité de l’Astra-Zeneca, suite à l’apparition d’effets secondaires chez de nombreux soignants avec leur vaccination. lien
Toujours est-il que l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a reçu, entre le 6 et le 10 février, 149 déclarations mentionnant des syndromes grippaux chez des soignants suite à l’injection d’une dose d’AstraZeneca. lien
Une autre source évoque « des effets indésirables très surveillés », dont 3 634 cas pour Pfizer, dont 42 cas graves, et 363 cas pour l’AstraZeneca... lien
Pas étonnant dès lors qu’il y ait si peu de candidats à la vaccination parmi les soignants comme on peut le découvrir dans cette courte vidéo.
Toujours est-il qu’en Autriche, les autorités ont suspendu un lot d’AstraZeneca suite à la mort d’une femme de 49 ans qui venait d’être vaccinée... en insistant sur le fait « qu’il n’y a aucune preuve d’une relation causale avec la vaccination ». lien
Et quid de cette jeune fille américaine, prénommée Thyphanie, de 16 ans décédée 12h après avoir été vaccinée ? lien
D’ailleurs aux USA plusieurs centaines de personnes se sont rendues aux urgences après avoir reçu le vaccin, et la liste de ceux qui ont subi des effets indésirables dépasse le millier.
1156 évènements indésirables ont été constatés, et parmi ceux-ci, 17 sont en danger de mort, 2 d’entre eux sont aujourd’hui en invalidité permanente. lien
Mais ce vaccin n’est pas le seul à être montré du doigt : près de 7000 cas d’effets indésirables ont déjà été constatés au 25 février dernier, suite à l’injection du « Pfizer ».
Quant au « Moderna », 220 cas ont été constatés, et pour le « AstraZeneca » on en a compté près de 2000. lien
Ajoutons pour la bonne bouche qu’on ignore totalement la durée de protection conférée par le vaccin, le site « doctissimo » assurant : « seul le temps révèlera sa durée de protection ». lien
Mais revenons à la gestion de la crise sanitaire par ce gouvernement.
Thierry Amouroux, porte-parole du SNPI (Syndicat National des Personnels Infirmiers) affirme que « le « AstraZeneca » n’est pas le plus adapté pour une population aussi exposée que les soignants », ajoutant « on ne veut pas servir de bouc émissaire au gouvernement ». lien
La situation est en train de se dégrader, puisque après avoir assuré qu’il n’était pas question de rendre la vaccination obligatoire, le gouvernement par la voix de Véran s’en est tenu à, dans un courrier, encourager les soignants à se soumettre, (lien)... sauf que le 8 mars, le porte-parole du gouvernement a menacé clairement d’obliger les soignants à se faire vacciner. lien
Sauf que la loi ne devrait pas le permettre. lien
Pour inciter les citoyens à se faire vacciner, tous les moyens sont bons, ainsi, en Israël, on paye une bière aux jeunes qui se font vacciner. lien
Macron va-t-il aller jusque-là ?
L’avenir nous le dira.
Pourtant le plus cocasse reste à venir, car pour ajouter à la cacophonie ambiante, Alain Fischer, le Mr Vaccin du gouvernement, celui-là même qui le 12 février avait alerté le gouvernement sur la dangerosité de l’Astra Zeneca pour le personnel soignant, suite à des observations d’effets secondaires, inquiétants, vient de faire volte-face, et tente de convaincre les soignants de se faire vacciner.
« faites-vous vacciner » clame-t-il aux infirmiers, ajoutant « c’est un devoir déontologique ». lien
Comme dit mon vieil ami africain : « quand l’éléphant trébuche, ce sont les fourmis qui trinquent ».
Le dessin illustrant l’article est de Delize
Merci aux internautes pour leur aide précieuse
Olivier Cabanel
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