@Cazeaux
Désolé si je vous ai offensé mais je ne vais pas être moins direct.J’ai du mal à cerner les idées que vous essayez de dégager. J’ai
l’impression que vous donnez des avis et remarques sans ligne directrice et
sans véritable argumentation ce qui me rend perplexe vis-à-vis du titre qui semble annoncer une
problématique engagée.
J’ai donc attiré l’attention sur le fait qu’une identité est
en fait multiforme et qu’elle est acquise, qu’elle se construit et se fabrique.
J’ai donc signalé quelques fondamentaux qui y participent et rappelé que autour
de ce terme il y a beaucoup d’idéologie politicienne au jour le jour bien
pratique en période électorale ce qui a le grand avantage de masquer l’enjeu
principal d’une présidentielle maintenant.
Nous parlons de références identitaires et culturelles en se
tournant vers le passé et le présent immédiat comme si l’essentiel se jouait là.
Mais concernant l’avenir qui nous échappe et se prépare en dehors de nous, savons-nous
au fond quelles sont les références culturelles de ceux qui décident des
directives européennes que nos exécutifs locaux devront mettre en œuvre. Membres
de la Commission Européenne, du Conseil Européen (chefs des exécutifs des
états), du Conseil de l’Union Européenne (ministres des états selon leurs
compétences), ces derniers ayant été élus et nommés dans leurs pays maintenant sur
quelles apparences et promesses. Peut-être que les crises d’identité que l’on essaie de masquer ou de refouler sont les plus dangereuses. Au fond on pourrait faire un mauvais jeu de
mot entre volcan et trou noir.