Votre tort, c’’est de vous focaliser sur les conséquences et non sur les causes.

Quelles sont les causes de l’immigration de masse ? Les crises que vivent les émigrés chez eux et qui les poussent à partir. Ce peut être une crise économique, militaire, climatique ou bien toutes en même temps, mais l’écrasante majorité des immigrés voulant conserver leur cultures, sont ceux qui sont contraints de s’exiler, rarement ceux qui le font volontairement, par choix, car cela suppose un attrait vers la culture du pays choisit et où il n’y a pas ou très peu de contrainte à s’exiler et où donc, l’intégration est désirée. Le choix du pays pour l’immigration non choisie dépendra alors de plusieurs facteurs, notamment des relations historiques ( ancienne colonie, la langue) ou de la présence déjà établie d’une importante communauté venant de son pays.

Bref, la solution ne passe pas tant par l’assimilation ou l’intégration d’une immigration forcé, mais de faire un monde où plus personne n’est obligé d’immigrer.Car, si vous proposez les bonnes conditions au retour de cette immigration, la majorité s’en fera une joie. Mais bien évidemment, si les conditions n’ont pas changé, personne ne voudra repartir !

Pour reprendre l’exemple fumeux d’un intervenant ici même, si un membre de votre famille vandalise et met le feu à la maison du voisin, ne vous étonnez pas qu’il vienne chez vous pour y trouver refuge. Et sauf à l’aider à réparer les dégâts, de s’incruster chez vous.

Pour finir, la notion de racisme n’est pas à sens unique, car ce serait en soi le pire des racismes que de l’affirmer. Bref, un noir peut tout aussi bien être raciste envers les blancs que l’inverse et cela fonctionne bien évidemment pour toutes les « races ». Pour ma part, je ne fais pas cette différence là, car elle est insignifiante par rapport à celle qui oppose les espèces, c’est à dire, entre les prédateurs, les herbivores, les parasites et les charognards, qui se jugent non pas en fonction de l’apparence comme la peau, mais en fonction de la nature d’être. Car c’est le propre de l’humain que de contenir en lui même tous les comportements observables dans le monde animal.