@devphil30
Le principal danger de ces vaccins à mon sens, des effets à retardement mais il n’y a pas que celui-là, voir l’inventaire dans l’article en lien écrit par une virologue chevronnée
6-3 : Développement de phénomènes ADE post-vaccinaux
Malgré leurs technologies différentes, tous ces vaccins sont conçus pour induire la synthèse chez le vacciné d’anticorps contre la protéine de surface du virus, la spike protéine, le but étant que ces anticorps se lient à la spike et empêchent la pénétration du virus dans les cellules.
Ils sont donc TOUS susceptibles d’entraîner l’ADE = antibody dependent enhancement (aggravation de l’infection par les anticorps) comme cela a été démontré pour tous les essais de vaccins chez les animaux contre les coronavirus (aussi bien contre les coronavirus humains SARS1 et MERS) que contre les maladies animales (56).
L’ADE a été très incomplètement testé chez les animaux pour le vaccin AstraZeneca© : Page 107-108 des données supplémentaires de AstraZeneca sur les macaques, on voit bien que la vaccination n’empêche pas le portage du virus dans le nez, ni dans d’autres tissus. 7 jours après l’inoculation de SARS-CoV-2 aux macaques vaccinés on ne met pas en évidence de pathologie pulmonaire à l’autopsie, ni de détection de SARS antigènes dans les poumons, mais des œdèmes et des hyperplasies pulmonaires. Les auteurs de l’étude expliquent que les animaux ont été sacrifiés seulement 7 jours après l’infection et que ce délai ne permet pas de détecter un éventuel ADE qui pouvait se produire plus tard (57).
https://www.aimsib.org/en/2021/02/07/vaccination-anti-covid-19-etat-des-lieux/
COVID graves, admettre l’existence des anticorps facilitateurs
par Emma Kahn | 23 Août 2020
https://www.aimsib.org/2020/08/23/covid-graves-admettre-lexistence-des-anticorps-facilitateurs/