@alinea
Il est vrai que les incohérences (contradictions, excès...) des décisions des autorités médicales et politiques et leur relayage par les grands média induisent la méfiance d’un grand nombre (dont je suis) et un rejet global par les plus radicaux.
On a entendu une chose et son contraire concernant le masque, la contagiosité des enfants, la consigne de se claquemurer chez soi ou prendre l’air, concernant le rôle des médecins traitants, les conditions d’utilisation des vaccins (âge, température de conservation...), etc.
On ferme des magasins pour que les gens restent chez soi, puis on dit au gens de sortir tout en fermant quand même les magasins.
On termine un confinement pour aller vers un couvre-feu encore plus contraignant dès la fin d’après-midi.
On applique des mesures « territorialisées » pour les zones contaminées puis on les généralise aux zones épargnées, avant de reterritorialiser, etc.
On restreint les déplacements inter-régionaux pour limiter la propagation, mais on affrète des trains supplémentaires pour permettre aux franciliens de s’égayer en province avant l’application de la mesure (comme l’an dernier).
Cet imbroglio alarmiste et désordonné alimente mythomanie et paranoïa, certains y voient des manigances machiavéliques pour instaurer une dictature mondiale ou effectuer un génocide. Entre catastrophisme et déni, difficile de trouver une juste analyse.