@l’auteur
Le problème de votre billet, c’est qu’il est uniquement à charge.
J’aurais pu être un tant soit peu d’accord avec ce que vous avez écrit, si vous aviez fait montre d’un peu de décence et de mea culpa.
Quand ceux qui ont les destinées de nos enfants entre leurs mains comprendront le formidable pouvoir de chantage qu’ils possèdent, on pourra peut être commencer à esquisser le début d’un débat constructif.
Attention, je n’accepte pas et n’accepterai jamais la violence, mais comment ne pas perdre son calme, quand l’enjeu est l’avenir de sa progéniture et qu’on a en face de nous un psycho-rigide droit dans ses bottes, qui peut s’en prendre à nos chères têtes blondes si les parents ne filent pas droit ?
Je ne dis pas que c’est le cas de tous les enseignants, mais par contre un nombre suffisamment conséquent se lâche en terme de condescendance et d’arrogance.
J’ai eu quelques contacts très difficiles avec certains, si bien que j’ai du leur rappeler que beaucoup de personnels enseignant ne sont pas le fait de vocations mais bien plus à de renoncements d’études dans une autre voie plus difficile d’accès, et que je pratique, moi, mon métier par choix ;)