@I.A. et Njama
Merci à vous tous qui prenez le temps de venir, lire, réfléchir, commenter, répondre et surtout contribuer par vos propres analyses et recherches à ces échanges très précieux en ces temps de confusion accrue.
Fort heureusement chacun sait que les brouillards ont vocation à se dissoudre et à disparaître.
Les « vaccinodromes » montent en puissance alors que l’on annonce déjà comme très prometteur un nouveau médicament qui pourrait bien causer quelques éruptions cutanées aux partisans du business vaccinal.
Il semblerait qu’une spécialité dénommée Molnupiravir, l’antiviral le plus avancé dans la lutte contre le
virus responsable du Covid-19, puisse susciter de l’espoir après des succès
intermédiaires très encourageants.
Un comprimé plutôt qu’une piqûre...
Les laboratoires Merck et Ridgeback Bio ont
annoncé avoir eu des résultats prometteurs pour un traitement contre le
virus, le molnupiravir, qui réduirait de façon significative la charge
virale des patients. Un médicament administré par voie orale, en cours
d’essai clinique.
Le molnupiravir, un traitement efficace contre la Covid ? Ce sont les premières conclusions auxquelles sont parvenus le laboratoire Merck et la société pharmaceutique Ridgeback Bio samedi 6 mars qui, dans un communiqué, ont indiqué que le médicament, pris par voie orale, permettrait de réduire, voire supprimer, la charge virale du coronavirus que quelques jours. "Sachant
qu’il y a un besoin non satisfait de traitements antiviraux contre le
SARS-CoV-2, nous sommes encouragés par ces résultats préliminaires« , explique ainsi Wendy Painter, chercheuse chez Ridgeback Biotherapeutics. Une étude publiée depuis la revue American Society for Microbiology.
Allez ! Vive la vie et ne prêtons pas attention aux agapes clandestines de personnages sans intérêt.
»Ah ! Mes frères, oserons-nous renouveler les naïfs transports des premiers chrétiens ? Retrouverons-nous la ferveur des agapes,
où, loin des froides perversités du siècle, tous les membres de la
communauté, hommes et femmes, garçons et filles, possédés par un immense
amour, en proie à l’esprit, se précipitaient dans les bras les uns des
autres, ..."
J. Romains, Les Copains,1913, p. 243.
Cordialement,
Renaud Bouchard