Tous les pays de l’OCI sont malades de l’islam. Beaucoup de Musulmans comprennent que le seul remède est la disparition de l’islam.
Nous avons d’une part un Coran qui place le calife au-dessus de Dieu, attisant toutes les ambitions politiques et d’autre part un décalage croissant de développement avec les pays occidentaux. Ce décalage est dû à une interdiction de tout travail scientifique, théorisé par Abuhamid Al-Ghazali, père de l’obscurantisme islamique, au 11ème siècle. Les scientifiques occidentaux ont découvert des centaines de sources couvrant la naissance de l’islam et qui nous racontent une histoire bien différente de la tradition. Ces sources et les études correspondantes sont accessibles sur Internet et une partie est traduite et Arabe ou en Farsi. Face à ce travail, les musulmans choisissent le déni ou l’apostasie. Ce mouvement d’apostasie qui existe depuis une cinquantaine d’année n’a pas échappé à ceux qui en avaient le plus à perdre et qui se sont lancés dans une surenchère de la violence. Malgré cela, l’apostasie s’étend, y compris dans des pays où elle est punie de mort. Elle reste discrète pour éviter la punition, mais en 2001, selon le Cheikh Ahmad al Qaatani, un clerc saoudien répondant à Al Jazeera « Toutes les heures, 667 musulmans se convertissent au Christianisme. Chaque jour 16000 musulmans se convertissent au Christianisme. Chaque année, 6 millions de Musulmans se convertissent au Christianisme ». Je ne pense pas que ces chiffres soient très fiables, mais ils marquent bien le désarroi du monde islamique. David Garrison a fait une étude des conversions sur l’ensemble des pays de l’OCI au début du XXIème siècle (« Un souffle dans la maison de l’islam ») qui montrait bien ce mouvement.