@alinea
J’en suis étonné moi-même mais je comprend ce point de vue. Je pense que c’est une forme d’investissement affectif biaisée . Le seul corps céleste le méritant est pour moi la Terre, car nous la partageons et sommes bien trop envahissant.
Dans « Le visage des choses à venir », H.G. Wells (un homme bien sûr) donne ces propos à un de ses personnages : « Rest enough for the individual man, too much and too soon, and we call it death. But for Man, no rest and no ending. He must go on, conquest beyond conquest. First, this little planet and its winds and ways. And then all the laws of mind and matter that restrain him. Then the planets about him, and, at last, out across immensity to the stars. And when he has conquered all the depths of space, and all the mysteries of time, still he will be beginning…“
Cela raconte en substance, la chanson de JJ Goldman »là bas« . Voyant le problème de l’intérieur, je pense que c’est une façon de gérer et de maîtriser nos pulsions, une échappatoire en quelques sortes. le mental veut gérer les émotions et il investit affectivement le monde des concepts et des choses car c’est un moyen de désinvestir la sphère affective qui lui fait peur.
Ceux qui veulent mélanger les genres et réfutent l’idée du masculin et féminin, les voyants égaux donc identiques se racontent des histoires.
Nous sommes l’antidote contre votre vision du monde qui aurait anéantit notre espèce, par naïveté. Vous êtes la même chose pour nous.
Le jour où il ne restera plus qu’un principe (tragiquement le masculin est l’option la plus prévisible par les temps qui courent), j’ai peur que notre destin ne soit scellée. Ne nous laissez surtout pas sombrer, les filles...
Je crois que c’est l’ancien testament qui dit »Le jour où le sel ne salera plus, avec quoi salera-t’on ?...". Il faut préserver cette noo-diversité.
Mais j’irais là-bas. Quitte à mourir autant le faire avec 3000 tonnes d’explosifs sous les fesses. Ce n’est pas un jeu pour nous.