@nono le simplet
Alors nono, on a toujours pas compris le « principe » de l’autorisation de mise sur le marché « conditionnelle » ?
Vous faites l’impasse sur le sujet ? Je vous ai trouvé un tout petit peu moins euphorique pour les études concernant l’hydroxychloroquine ! Un tout petit poil n’est-ce pas ? L’injection fonctionne : nono a toutes les preuves ! L’hydroxychloroquine ne fonctionne pas : nono a toutes les preuves !
Nono, qui vient nous parler du nombre de cas ! Risible. On peut faire varier ceux-ci à volonté puisque le nombre de cycles retenu pour valider le test est un « secret d’Etat ». Sacré nono ! Le nombre de cas : je pouffe ! Revenez avec un peu plus de rigueur intellectuelle !
Voilà où mène la malhonnêteté, la propagande et la manipulation. Dans le mur et dans l’évidence que vous êtes un fieffé menteur !
« Une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les données d’efficacité et de sécurité disponibles sont positives et que les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent à l’absence de recul important. »
Mais pour nono, cette injection est « efficace » et « sans danger ». Il ramène sa fraise !
Comment ont-ils utilisé la pandémie pour accélérer les agendas économiques, financiers et sécuritaires dont les conséquences en termes d’emploi, de libertés, de démocratie et d’environnement seront sans doute dramatiques ? L’auteur examine les ressorts psychologiques, les soubassements idéologiques, les intérêts matériels, pour nous montrer une carte des groupes privilégiés orientés vers une soif de pouvoir et d’argent, révélant leur absolu cynisme.
« A peine la dérisoire menace de la grippe H1N1 écartée, après bien d’autres, que voici la fièvre d’Ebola pour nous redonner des frayeurs. Les morts libériens, guinéens et sierra-léonais notamment, annoncent une nouvelle peste. Or des laboratoires pharmaceutiques fabriquent, in extremis, un vaccin à distribuer généreusement jusqu’en Afrique, pour le moins, avec le blanc-seing de nos autorités. Gouvernement et industriels nous présenteront la note.
Tel est aujourd’hui le schéma de plusieurs crises sanitaires : experts et médias agitent le spectre d’un désastre : la crise survient, avec ou sans malades. Les responsables politiques homologuent cette fable et achètent avec largesse le médicament miraculeux.
Ainsi, le même vocable de crise sanitaire recouvre-t-il aussi bien de minables arrangements que d’affreuses tragédies.
Cependant, toutes ont deux constantes : incompétence et compromissions. Enfin, la crise sanitaire n’a-t-elle pas une utilité plus fondamentale que l’intérêt de quelques aigrefins ? Ne sert-elle pas de soupape à un système à bout de souffle et auquel personne, néanmoins, ne veut renoncer ?
21/04 08:46 - simir
@nono le simplet L’occasion fait le larron. Vous êtres bien naïf
20/04 08:46 - Francis, agnotologue
@CYRUS bonjour, c’est qui, celui qui a eu le point big-truc ? Pourquoi « big truc » (...)
20/04 08:37 - nono le simplet
@simir on ails ont inventé une pandémie pour faire passer la réforme des retraites en France (...)
20/04 08:24 - simir
@pipiou2 « A quoi ça pourrait servir, sérieusement, que les gens montrent leur soumission ? » (...)
19/04 22:09 - pipiou2
@CYRUS C’est toi qui nous parle de science ? Alors que tu n’es même pas capable de (...)
19/04 19:27 - babelouest
@Adèle Coupechoux et si les juristes sont complices, on fait comment ?
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