@infraçon
Plus que de controverse, il s’agit là de convergence !
Cela dit, l’empathie, implique d’eile même la notion de respect d’autrui. Toutefois, en société, ce qui est fondamental n’est ni l’empathie, ni le respect de soi et d’autrui, mais l’obéissance à la loi. Peu importe d’ailleurs que ce soit une dictature ou une démocratie, car c’est tout simplement la condition première pour qu’une société puisse exister. Après, dans une dictature, ceux qui luttent pour la renverser et faire advenir une démocratie dénoncent la loi, mais ce n’est que pour la changer, pas pour supprimer la loi. Cela vaut aussi dans le sens inverse.
Pour ce qui est de mon article, les BAL ne sont pas applicable dans le système actuel, soit cela conduit à la fin de la propriété privé des moyens de productions, soit les BAL à supposer qu’elles soient mise en place, ne survivraient pas.
Maintenant, la controverse entre nous va surtout porter sur la monnaie et la notion du devoir
D’abord pour la monnaie, qui n’est pas propre au système capitaliste, mais propre à toute société fondée sur la division de l’activité productrice, donc, valable aussi pour une société sans propriété privé mais avec division de l’activité productrice.
Mais pour bien comprendre, il faut d’abord savoir ce qu’est la monnaie et non pas la fausse idée véhiculé par les maîtres du système. J’ai écris trois articles sur le sujet monétaire et il y a bien d’autres choses à dire. Mais pour faire simple, la monnaie comporte en elle même une face créance ou droit et un face dette ou devoir. La particularité étant que la détention de la monnaie représente la partie créance et la non détention de la monnaie, la partie dette, mai il n’y a pas de créance sans dette, comme il n’existe pas de droit sans devoir, c’est à dire, où tout droit implique un devoir et tout devoir, applique un droit. La fonction première de la monnaie, depuis donc sa création il y a quelques milliers d’années, n’est pas pour mesurer la valeur d’échange de marchandises, mais pour mesurer la valeur d’échange du temps de vie dédié à autrui ET détenu sur autrui. Fondamentalement, c’est son temps de vie que l’on échange contre de la monnaie, ne voir que la marchandise permettant seulement de dissimuler le profit ou plutôt, l’impôt prélevé par le propriétaire de l’outil de production tant sur ses salariés que sur celui qui achète la marchandise.Autrement dit, la différence entre le système capitaliste fondé sur la propriété afin de prélever l’impôt qu’est le profit et un système responsabiliste, fondé sur l’équilibre entre droit et devoir,porte sur ce qui est mesuré, à savoir, la marchandise ou le temps de vie dédié. Mais en aucun cas la monnaie est propre au système capitaliste.
Idem pour le salarié, la notion n’est pas propre au système capitaliste, mais à toute société fondé sur la division de l’activité productrice, car on échange un salaire en monnaie, contre un temps de vie dédié.
Là, on entre pleinement dans les fondamentaux économiques réels et non plus « bisounours » car on ne peut pas construire une alternative au système capitaliste actuel sans donner les lois physique, mathématique, c’est à dire, les relations causales sur lesquelles tout le monde peut s’appuyer.
Pour finir, il convient aussi de faire la différence entre égalité et équité, ceci afin de ne pas faire la confusion entre égalité relative qu’est l’équité et égalité absolue, qui est une inégalité relative ou iniquité. Par exemple, donner la même chose à deux personnes ayant les mêmes capacités, mais dont l’une à produit deux fois plus que l’autre voir plus encore. Dans ce cas là, seule la personne qui a produit plus, peut décider de donner plus, mais la collectivité ne le doit pas, cette dernière doit toujours chercher l’équilibre et laisser à chacun de choisir le déséquilibre particulier dans le seul sens du don, le sens inverse du vol étant interdit. C’est plus complexe, mais la base est là.
Le principe d’équité étant la valeur la plus universellement partagé, puisque c’est celui du mérite personnel et même le système actuel prétend se fonder sur lui, mais par des arguments totalement fallacieux, sophistes. Le système actuel se fondant sur l’exploitation du mérite d’autrui à son profit via la propriété privé. Laquelle est vide de sens sans le profit. Etc...
Bref, il n’y a de controverses, que celles de la confusion naît et nourrit par les maîtres du système actuel, mais qui doivent trouver leur résolution par la force de la convergence des buts. Sachant que l’être en tant que tel n’a de choix que des finalités ou buts, mais pas des moyens, ces derniers étant le propre de la causalité et d’elle seule.
Mais ne jamais oublier que chaque système contient en lui même ses propres avantages et inconvénients, le tout étant d’adopter celui dont les avantages sont supérieurs aux inconvénients.
29/04 10:28 - infraçon
@Hervé Hum Nous ne serons jamais d’accord, car, je le répète, vous continuez de (...)
29/04 08:51 - Hervé Hum
@infraçon Donc pour moi, dans une société fraternelle, il n’est plus question de (...)
27/04 16:17 - infraçon
@Hervé Hum « De motivation ! de défis à relever. Individuellement et/ou collectivement car (...)
27/04 09:10 - Hervé Hum
Pour moi, une fois la satisfaction des besoins fondamentaux réglée, de quoi avons nous besoin (...)
24/04 12:39 - infraçon
@Hervé Hum Nous continuons à dialoguer sur des voies parallèles... Si je me place dans le (...)
24/04 10:52 - Hervé Hum
@infraçon vous le reconnaissez vous même, la fraternité ne se commande pas, par contre, la (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération