@Ben Schott

Il y a aussi le Mississippi qui a pris la décision de « tout ouvrir » et sans masque.

https://www.wmcactionnews5.com/2021/03/03/mississippis-mask-mandate-ends-today-reeves-loosening-restrictions/

Et, évidemment, les médias de masse, qui criaient au scandale et à l’inconscience, se taisent à l’unisson ! Ils ferment leur grande gueule propagandiste ! 

D’ailleurs, c’est bien aussi ce qu’ils ont fait, odieusement, lorsque cette étude de la célèbre université de Stanford -USA— a fait publier dans les journaux scientifiques le 22 novembre 2020, que, non seulement le port du masque était totalement inutile en population générale, mais, plus encore, « dangereux » pour la santé ! 

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7680614/

On ne faisait pas mieux dans l’URSS de la grande époque en matière de « désinformation » ! Les pays de l’OCDE n’ont même plus les moyens intellectuels de critiquer la Corée du Nord ou n’importe quelle dictature : ils viennent de créer les leurs !

« Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l’efficacité du port du masque facial comme intervention préventive contre le COVID-19. Les données suggèrent que les masques faciaux médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2 et le COVID-19, soutenant contre l’utilisation des masques faciaux. Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, l’activation de la peur et de la réponse au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et dépression. Les conséquences à long terme du port d’un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et la mort prématurée. Les gouvernements, les décideurs et les organisations de santé devraient utiliser une approche prospère et fondée sur des preuves scientifiques en ce qui concerne le port des masques faciaux, lorsque ce dernier est considéré comme une intervention préventive pour la santé publique ».