« Il s’agit, selon moi, d’une question de système « complexifié » avec toute sa fractalité et son chaos programmé par des « individus » conscients. Ceux-ci prétendent que la conséquence et la cause sont intervertibles. A toutes les échelles il est constaté une homogénéité typique de la structure d’un déterminisme factice à long terme. »
Hi, hi, ... si vous le dites !
« C’est encore Paul Watzlawick qui disait : « Seuls les dictateurs et la racaille du même acabit semblent être conscients de ce profond besoin ... de rituel ... et ne manquent jamais d’offrir ... de psuedo-rituels qui viennent servir leur fin scélérates »[13]. »
Mouais !!! J’entends bien que sous prétexte sanitaire, les rituels covidiens (masques, gel hydroalcoolique, distanciation physique, « bulle sociale », tests PCR, vaccination, ...) sont autant d’obstacles à notre humanité participant à la mise en place d’un nouvel ordre économique, social, sociétal et anthropologique de type « transhumaniste » mais — nonobstant tout mon respect pour l’œuvre de Watzlawick — la nécessité de rituels - notamment de passage - est loin de se limiter aux seules dictatures et apparaît inhérente à la structure et l’organisation de toute société humaine, tant traditionnelle que moderne (diplômes, promotions, justice, sessions d’ouverture parlementaires, élections, fêtes nationales, hommage au soldat inconnu, embrassades sous le gui à la nouvelle année, ...)