@mac
Dans ces pays, en 2020, après fermeture des frontière le confinement général en 2020 était strict, contrôlé et respecté, ensuite, une fois les cas détectés et isolés, la vie plus ou moins normale a pu reprendre bien plus rapidement qu’en France, moyennant port du masque en public et désinfection des mains à l’entrée de n’importe quel lieu public. Ce que les gens de ces pays ont bien compris et appliqué.
Pas grand chose à voir avec le merdier français et les mesures vexatoires que les Français ont dû subir, mesures vexatoires qui font rejeter (et on peut le comprendre) tout ce que les Macron-boys proposent.
Il y a un peu moins de deux mois, la Nouvelle-Zélande a totalement reconfiné sa capitale (Wellington, 400.000 hab.) durant sept jours pour un, un seul, cas détecté.
Pareil pour l’Australie, il y a un mois, Brisbane, (ville de deux millions d’hab.) a été confinée pour 7 cas détectés.
Au Vietnam, pays que je connais bien, les frontières terrestres sont fermées, contrôlée par les milices locales. Aéroports fermés pour les étrangers, sauf de très rares exceptions (investisseurs ou travailleurs indispensables) et ils doivent subir un isolement de 15 jours dans des hôtels agréés à 200 $ par jour (une somme exorbitante pour ce pays), pour ce prix, évidemment, ils ont droit à un service total en chambre (qu’ils ne peuvent de toute façon pas quitter) : nourriture, hygiène, soins médicaux le cas échéant, etc.
Même si le tourisme représente directement plus de 6,6 % du PIB (13,9 % si l’on tient compte des contributions indirectes) le pays n’a pas hésité à renoncer aux touristes en 2020 et 2021.
Avantage pour les Vietnamiens, comme les prix du secteur touristiques ont chuté, ils voyagent maintenant beaucoup à l’intérieur de leur pays.
Et l’économie est repartie, en 2020, croissance du PIB de 2,91 % (la France c’est une diminution de 8,3 %, on dit merci Macron pour la gestion débile de la crise).
Vous avez raison, ces pays pratiquent une politique de « zéro covid », mais avec des mesures que Macron est dans l’impossibilité de prendre, par manque de soutien populaire, par peur, par incompétence, etc.