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Commentaire de Legestr glaz

sur Inde : un remède contre le covid : le communisme !


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Legestr glaz Legestr glaz 29 avril 2021 17:42

@pemile

C’est vrai j’oubliais : il n’y a pas eu en 2020 de surmortalité chez les moins de 70 ans en France. Il y avait vraiment de quoi s’affoler en mars 2020 ?

Le profil des personnes vulnérables au SARS-COV2 a été connu dès avril 2020. Il s’agissait, pour faire court, des personnes ayant une maladie des vaisseaux sanguins, un endothélium endommagé et un glycocalyx amoindri. Il était donc possible de prendre soin de ces personnes vulnérables à qui l’on a précisément demandé de mourrir sans faire trop de bruit. 

Les médecins qui ont soigné leur patients « covid19 », comme on soigne un pneumonie, ont eu des résultats extraordinaires. Mais, il fallait des morts et encore des morts. Pour cette raison, il a été « interdit » d’employer l’azithromicyne et un complément d’oxygène et, souvent, des anti-coagulants.

Et que voyons nous avec le recul du temps ? Que les meilleurs soins à apporter aux malades du SARS-COV2 consistent à leur prescrire des macrolides, des anti-coagulants et de l’oxygène. C’est le tiercé gagnant. Ce qui n’empêche pas de renforcer l’immunité naturelle par du zinc et de la vitamine D.

Année 2017 soit « avant le SARS-COV2 !
 » Les carences en vitamine D, zinc et magnésium augmentent le risque cardiovasculaire chez les diabétiques du fait de leur effet anti-oxydant et sur la fonction endothéliale. Le déficit nutritionnel augmente le risque de complications micro- et macroangiopathiques.« 
https://www.em-consulte.com/article/1199394/le-diabete-facteur-de-denutrition-et-de-carences-e
En 2016, 3,3 millions de français étaient traités pour un diabète.  En raison de leur capacité immunitaire altérée, les patients diabétiques sont plus à risque d’infections à pneumocoque. 


Nos »grands médecins« français connaissent tout ça par coeur. Un défunt sur 2 dans le monde est obèse et 70% des obèses sont diabétiques. Combien de diabétiques dans le lot des victimes du SARS-COV2 ?

Alors pemile, si la science avait été respectée, si on avait appliqué aux malades des traitements qui découlaient des connaissances scientifiques sur le SARS-COV2 (qui produisait une »endothélite« ) et la fragilité acquise des obèses, des diabétiques, des hypertendus, des insuffisants rénaux, des malades du coeur (leurs vaisseaux sont endommagés) alors il aurait été possible de sauver beaucoup beaucoup de monde.

En ne soignant pas les malades, il est évident que la maladie peut les emporter !

SOS pneumonie : Où ont donc disparu les pneumonies ? Un avis de recherche est lancé.
 »En France, on estime à 455 000 le nombre d’infections à pneumocoque chaque année. Ces infections peuvent être non invasives ou invasives.
En France, l’incidence annuelle des pneumonies à pneumocoque est estimée entre 40 000 et 132 000 cas, avec 4 000 à 12 000 décès survenant en majeure partie chez des personnes âgées de plus de 65 ans.
le pneumocoque est également un acteur important de co-infection pendant un épisode viral : dans une méta-analyse portant sur 27 études et 3 215 patients touchés par la grippe, 35 % des patients étaient co-infectés par Sreptococcus pneumoniae et 28 % par Staphylococcus aureus. (9) Si la grippe saisonnière affecte jusqu’à 20 % de la population mondiale chaque année, une étude a suggéré que la majorité des 20 à 60 millions de décès survenus pendant la pandémie de 1918 serait attribuable à une surinfection bactérienne plutôt qu’à la grippe elle-même"…

https://www.msdconnect.fr/aires-therapeutiques/vaccins/pour-ma-pratique-medicale/infections-a-pneumocoque.xhtml?gclid=EAIaIQobChMI7tTGsuCj8AIVQ_hRCh3a7Q6rEAMYASAAEgLKhvD_BwE


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