@pemile
Je ne suis pas absolument pass dans le déni, mais laisser les gens victimes de pneumonies, sans soins, c’est les condamner à mort pour les plus fragiles. C’est très exactement ce qui a été fait !
Un pneumonie, cela se soigne ! Cela se soigne d’autant mieux que les médicaments sont donnés « dès les premiers symptômes ».
A mon tour de vous poser la question du « déni ». Est-ce que vous faites dans le déni concernant les pneumonies ? Ils sont passés « où » les 400.000 à 600.000 cas annuels ?
Il fallait des morts pour créer un climat anxiogène, pour mettre en place cette dictature sanitaire. Et nous y sommes pemile ! Nous y sommes, et ce n’est pas du « déni » !
Cette maladie pouvait être soignée « dès les premiers symptômes » comme on soigne un pneumonie : à l’aide d’antibiotiques de type macrolides.
L’infection par SARS-COV2 se soigne comme un pneumonie pemile, ce qui veut dire à l’aide d’antibiotiques, ceux qui ont, précisément, été interdits !
Les infections par SARS-COV2 peuvent se soigner comme l’on soigne une pneumonie. Et comment soigne t-on une pneumonie ? Il faut agir « dès les premières symptômes ». Plus le traitement est donné tôt et plus les chances de ne pas développer des suites mortelles sont élevées. Les pneumonies se soignent à l’aide d’antibiotiques de type macrolides. Exactement ce qui a été « déconseillé », voire « interdit » aux médecins de terrain de prescrire !
En France, « chaque année », vraiment « chaque année », entre 400.000 et 600.000 personnes développent une pneumonie. Ces personnes sont soignées à l’aide d’antibiotiques, mais, malgré tout, cette maladie emporte quand même 18.000 personnes par année.
Mais, imaginez, un seul instant, que l’on « interdise » l’utilisation des antibiotiques, est-ce que vous pouvez déjà anticiper les « dégâts » ? Oui, on peut le faire !
« On » a refusé de soigner les gens qui présentaient les premières symptômes d’une maladie respiratoire et on vient s’« étonner du nombre de morts ? Dans un gros paquebot qui coule, si le nombre d’embarcations de secours n’est pas suffisant y aura t-il plus de noyés que si le nombre de chaloupes avait été suffisant ?
Si « on » ne soigne pas, les gens meurent davantage des pneumonies. CQFD !