@ETTORE
Merci pour votre commentaire. Il ne s’agit pas de divin, par essence mais plutôt d’irrationalité in-se. Par analogie avec ce que certains psychothérapeutes de l’« Ecole de Palo Alto (Californie USA – Gregory Bateson) préconisent, il est intéressant de se rappeler que dans le cadre d’une thérapie, l’analyse dimensionnelle de la structure de l’ensemble des réponses (possibles à envisager) aux questions posées, lors de l’examen et/ou l’analyse d’un « problème » inciterait d’adopter une stratégie de « symétrie » et/ou d’« homothétie » et/ou « homomorphisme » () entre les énoncés (formel et fond) des questions et des réponses. Par exemple :
1 - dimension de la structure de la question = (a+ib). (Nombre complexe : « a » partie réelle, « ib » partie imaginaire – i = √(-1)) – ( « a » et « b » nombres quelconques mais si eux-mêmes sont complexes...on « tombe » dans le surréalisme !)
2 - dimension de la structure de la réponse = (a’+ib’). (idem)
Prier Saint Antoine quand on a perdu ou égaré un objet, c’est chercher une réponse « irrationnelle » à l’« irrationnel » de la perte ou de l’égarement. Il y a cohérence et donc ... cela marche ( souvent). Je pense qu’il en est de même pour ce qui est de la relation « pouvoir-servitude » dans la « crise » actuelle. Et en tant qu’asservis avons-nous d’autres types de réponses ?
Bien à vous.