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Commentaire de Régis DESMARAIS

sur Pass sanitaire, l'étrange « normalité » pour le festival d'Avignon


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Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 5 mai 2021 23:36

@William
Non, ce n’est pas pousser trop loin les choses. La nazisme, lors de sa prise de pouvoir en 1933, n’était pas encore un régime exterminateur. Il a commencé comme cela se déroule aujourd’hui : mensonges, obligations, règles nouvelles, nouvelle normalité, dévalorisation des adversaires et lentement, perte des libertés. Comme vous avez lu l’article, vous avez compris que ce Pass est un outil destiné à créer une fracture au sein de la population. En aucun cas, ce Pass n’a de lien avec la santé : les test PCR ne détectent pas les malades et le nombre de faux positifs (et faux négatifs) est élevé ; le vaccin n’empêche pas d’être contaminé, contaminant et de faire les formes les plus graves de la Covid. Donc ce pass ne représente qu’un délire totalitaire sans aucun fondement de santé publique. En 1933, soit on suivait les nazis, soit on entrait dans la lutte. On voit ce que cela a donné de les suivre. L’honneur, le respect de la liberté et des droits constitutionnels ne s’accommodent pas d’arrangements avec un pouvoir fou. Préférer les subventions et une absence de mise à pied, c’est le choix des collabo en 1940. Tous ceux qui acceptent aujourd’hui ce pass, devront l’accepter demain pour entrer dans une boulangerie et devront accepter la vaccination obligatoire avec un produit expérimental dont on ne sait que ce que le fabriquant veut bien nous dire. Quand on sait que Pfizer a été condamné à une amende de 2,4 milliards de dollars pour études trafiquées sur ces médicaments, on a vraiment envie d’imposer un pass à des gens et donc à les inciter à se faire injecter un produit inconnu. Certes, pour l’argent que ne ferait-on pas ? 

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