@Captain Marlo
Comme en Tunisie avec R. Ghannouchi, la présidence de l’Assemblée nationale n’est pas le pouvoir, juste un os a ronger pour des islamistes jouant la modération, mais sous haute surveillance et sous contrôle comme les séparatistes $ionnisés, car, justement, les algériens n’ont pas oublié le cauchemar sanglant des années 90 et n’ont nulle envie que cela recommence.
En tous cas certainement pas l’Armée Nationale Populaire qui, quoiqu’on en pense, constitue la colonne vertébrale d’une Algérie très jalouse de sa souveraineté.
En Algérie, les barbus coupeurs de têtes n’ont jamais pu dépasser le stade de la guérilla et du terrorisme aveugle, les ayant totalement disqualifié auprès d’un Peuple sachant très bien « qui tue qui ».
Ils se sont fait progressivement laminer par des combattants surentrainés et surarmés, formés au combat asymétrique et appuyés par des milices populaires maitrisant leur territoire.
Si les islamistes ont accepté les propositions paix et d’amnistie sous la présidence de Bouteflika, c’est qu’ils étaient militairement acculés et asphyxiés logistiquement et économiquement.
Mais tout cela est du passé pour les algériens, comme la Russie se tournant résolument vers l’Asie, c’est vers son avenir Africain que l’Algérie se tourne, elle a de grands projets et de puissants partenaires lui fournissent les moyens d’y parvenir, ainsi que ceux pour les défendre. . .