@mmbbb
Il ne faut pas falsifier l´histoire.
Lorsqu´on ne connait pas, on se tait.
Voici les faits avec des dates, apporter les votres, nous sommes ici dans un débat.
1— L´homme Blanc comme vous l´écrivez n´a pas libéré le Noir en Haiti, ce sont les Noirs en Haiti qui se sont libérés du Joug de l´homme Blanc.
En 1803, le Haiti défait les armées de Napoléon et se libére seul, et, proclame son indépendance le 1-1-1804.
Avant la campagne génocidaire des armées francaises de Napoléon, le Haiti comptait 500.000 habitants, á la fin de la campagne militaire francaise, le Haiti ne compte plus que 250.000.
Cela veut dire que 250.000 furent massacrés par les armées francaises de Napoléon.
Vous écrivez ceci : « Dans les années 60 , la Corée du Sud avait le même niveau de développement que les pays d Afrique
Ce pays a désormais une économie florissante. »
C´est normal que la Corée ait une économie florissante.
La Corée n´a pas été esclavagisé comme le Haiti ou les pays africains.
La Corée n´a pas á payer une dette au pays de Blanc comme le Haiti qui jusqu´au milieu du XXe, payait une dette á un pays de Blanc qu´est la France, cette dette est l´equivalent de 17 milliards aujourd´hui, c´est normal que la Haiti économiquement ne décolle pas.
La France retire des pays africains 450 milliards par an, c´est normal que les pays africains économiquement ne décollent pas. Pendant ce temps, la Corée garde ses milliards pour son développement.
La monnaie Coréenne est imprimé en Corée et géré par la Corée.
Les pays africains qui utilisent les CFA, n´ont pas cette possibilité.
Le Franc CFA est imprimé en France ( dans la ville de Chamalière pour les billets et pour les pièces et médailles, dans la ville de Pessac ).
La Corée gère sa monnaie.
Les pays d´Afrique NON. Ce Franc CFA est géré par la Banque de France.
Vous écrivez ceci : "Au Sri Lanka ,un des ports a été préempté par le gouvernement chinois
Bail de 99 ans pour défaut de paiement
«
Si nous en Afrique pourrions avoir ce genre de chance des Sri-Lankais, nous serons très heureux.
Les ports et autres infrastructures de transports chez nous en Afrique, appartiennent tous soit á BOLLORÉ soit á BOUYGUES et ceci sans limite comme au Sri-Lanka.
Vous continuez en écrivant ceci. » Hollance a effacé la dette ivoirienne
Nous contribuons ainsi que l Europe a des plains de développement pour ce continent"
Les résultats sont bien lá en Afrique, on voit très bien comment vous contribuez au développement de ce continent oú tout va très bien.
Vous terminez par ceci : « Salauds de Blancs ».
Ce n´est pas @microf qui l´a écrit, c´est vous @mmbbb, je ne ferai aucun commentaire.
Toutefois je note que soit vous ne connaissez pas l´histoire, soit vous voulez la falsifier, ou faire de la diversion, alors pour vous rafraichir la mémoire, je vous prie de relire ceci :
Haïti : le poids d’une dette vieille de 200 ans ( Jusqu´au
milieu du XXe, siècle, le Haiti l´un des pays les plus pauvres du
m,onde, payait toujours la dette á la France )
France Télévisions
Rédaction Afrique
François Hollande a donné de faux espoirs aux Haïtiens lorsqu’il a
évoqué, dans un discours le 10 mai 2015, la dette qu’il acquittera à
l’égard d’Haïti. Beaucoup ont compris qu’il s’agissait des 150 millions
de francs or versé par Haïti en 1825 pour obtenir son indépendance. Mais
le président n’a parlé que de dette morale. Retour sur l’origine de
cette dette.
Le 1er janvier 1804, Haïti proclame son indépendance, obtenue après
une longue guerre. Jusque dans les années 50, le premier État noir de
l’histoire moderne a remboursé à la France, ex-puissance coloniale, une
dette qui équivaudrait à 17 milliards d’euros d’aujourd’hui. Cette dette
a considérablement entravé le développement de l’un des pays les plus
pauvres du monde.
Le 17 février 2010, Nicolas Sarkozy est le premier chef d’Etat français à se rendre en visite à Haïti depuis l’indépendance. « Notre présence ici n’a pas laissé que de bons souvenirs », déclare-t-il alors. "Les
blessures de la colonisation et, peut-être pire encore, les conditions
de la séparation ont laissé des traces qui sont encore vives dans la
mémoire des Haïtiens", poursuit-il.
Un retour en arrière
s’impose. En 1791, en pleine Révolution française, éclate sur l’île
d’Haïti, alors Saint-Domingue, une révolte d’esclaves noirs sous la
conduite de Toussaint Louverture, ancien esclave qui sera nommé général
et gouverneur du territoire. Le mouvement aboutit en 1793 à l’abolition
de l’esclavage par la Convention. Mais l’abolition passe mal auprès des
créoles et des négociants qui obtiennent de Bonaparte en 1802 son
rétablissement. Il faut dire qu’à cette époque, celle que l’on surnomme « la perle des Antilles » est une île riche et prospère : les colons ont du mal à accepter de perdre une main d’œuvre taillable et corvéable à merci.
Le premier consul envoie un corps expéditionnaire de plusieurs milliers
d’hommes. Des combats s’engagent alors avec les hommes de Toussaint
Louverture qui est capturé par les Français et mourra au fort de Joux
(Doubs) en 1803. Son adjoint, le général Jean-Jacques Dessalines,
reprend le flambeau et l’emporte contre son homologue français
Rochambeau lors d’une guerre qui fait des dizaines de milliers de morts.
En 1804, Dessalines proclame l’indépendance.
Double dette
La France a du mal à accepter la perte de celle qu’on appelle « la colonie la plus riche du monde ».
Des négociations commencent entre les deux parties pour tenter de
trouver une issue. Elles traînent en longueur. En 1825, le roi Charles X
« concède » son indépendance à Haïti en échange d’une indemnité de dédommagement de 150 millions de francs or. Cette somme représente « l’équivalent d’une année de revenus de la colonie aux alentours de la Révolution, soit 15 % du budget annuel de la France », rapporte l’écrivain haïtien Louis-Philippe Dalembert. Pour contraindre Haïti à signer l’accord, la France impose un blocus maritime.
Pour
payer, le nouvel Etat doit donc emprunter des sommes considérables sur
la place de Paris. Il lui faut donc acquitter ce que certains historiens
ont appelé « la double dette de l’indépendance »
: l’indemnité et les intérêts des emprunts. Dans le même temps, les
recettes de l’ancienne perle des Antilles, ravagée par des années de
guerre et de blocus, fondent. Le cours du café, sa principale ressource,
a considérablement baissé. Dans le même temps, par crainte des
Français, les autorités insulaires investissent beaucoup dans des
constructions militaires. Dans ce contexte, Haïti est dans l’incapacité
de payer.
La pauvreté à Port-au-Prince, racontée par Elvanise Tidor, 83 ans, une habitante du bidonville de Port-Soleil
Un accord n’est trouvé avec la France qu’en 1838. Le roi
Louis-Philippe accepte de réduire l’indemnité à 90 millions, somme qui
équivaudrait à 17 milliards d’euros
d’aujourd’hui. Pour la régler, le nouvel Etat doit lever de lourds
impôts. La dette est soldée en 1883. Mais l’ancienne colonie ne finira
de payer les agios de l’emprunt… qu’au milieu du XXe siècle !
Aujourd’hui, Haïti est l’un des pays les plus pauvres du monde. "L’incurie,
la corruption et l’incompétence des Haïtiens eux-mêmes y sont
certainement pour beaucoup. La mainmise des Américains au début du XXe
siècle a achevé la dérive de ce petit pays. Mais le versement de la
dette de l’indépendance à la France et l’emprunt ainsi contracté y ont
aussi contribué", analyse Louis-Philippe Dalembert.