@pipiou2
Ce ne sont pas les virus respiratoires aérosols qui tuent mais les sur-infections qui en découlent !
Pour soigner des virus respiratoires aérosols, ceux de la grippe, de la covid19, des pneumonies, la solution est d’utiliser chez les personnes « sensibles » des antibiotiques de type macrolides, « dès les premiers symptômes ».
« La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes” à risque”, c’est donc tout l’enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales. »
pipiou2, vous devriez écrire à l’Institut Pasteur de Lille pour leur dire qu’ils sont des charlots incompétents !
https://www.pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/
Fatigué par l’infection grippale, l’organisme se défend moins bien contre les autres microbes. Une surinfection bactérienne peut survenir, surtout si la personne est très jeune et que son système immunitaire n’est pas mature ou inversement si la personne est âgée et que son système immunitaire est moins performant. Les surinfections bactériennes post-grippales se traduisent par des pneumopathies, des bronchites, des infections ORL (otites ou sinusites, surtout chez l’enfant) et, plus grave encore, des septicémies.
Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole.
Quant aux « vaccins anti-grippaux », jamais, jamais, leur efficacité n’a été démontrée dans la population « cible ». C’est ballot non pipiou2 ? Cela fait partie de la « légende vaccinale contre les virus respiratoires aérosols » !