@ l’Auteur.
J’ai relu deux fois votre article certes détaillé, un poil long ; mais avec le même plaisir, cependant une question me vient à l’esprit, non pas sur le Covid, qui en fait est une maladie virale comme les autres dont les méfaits s’appliquent principalement aux « vieux » et aux plus faibles.
Car oui, nous ne sommes pas tous égaux face aux maux, et je pense que chacun à pu s’en rendre compte dans sa vie quotidienne.
Ma question est assez simple, depuis plusieurs décennies on nous rabâche que l’espérance de vie augmente, grâce d’une part aux progrès de la médecine et aux progrès pharmacologiques d’autre part et cela semble être devenu, un diktat, une sorte de but ultime dans la vie humaine, vivre plus longtemps.
Les courbes mondiale démontrent bien cette montée dans certains pays.
Cette litanie perpétuelle est souvent agrémentée d’exemples de centenaires en bonne santé, alors que la réalité est assez souvent différente, il n’y a qu’a voir le nombre « d’anciens » attendant la fin dans moult établissements dont je n’ose même pas citer le nom.
Je dis attendant la fin, car pour la majorité l’état physique est quand même sévèrement diminué, même si pour certains les capacités intellectuelles restent relativement présentes, l’être n’est plus capable de se suffire à lui même. Est ce ça l’espérance de vie idyllique ?
Bref, nous vivons plus vieux, mais ne sommes nous pas plus fragilisé aussi, à vouloir nous protéger de tout évitant finalement à notre organisme de développer des défenses naturelles, et dans encore quelques décénnies, un simple mal qui avant aurait causé des troubles sans véritables conséquences sur un individu le mettra en danger de mort.
Evidemment que si j’ai une vision complotiste des choses, je serais amené à dire que nous faire vivre plus longtemps quel qu’en soit l’état contribue très largement à l’enrichissement de certains. Vision étayée par le fait que dans certains pays l’espérance de vie est faible (sur nos baes de jugement et de mode de vie), du fait d’une « pauvreté globale », donc ne favorisant pas l’accès aux soins. Merci de vivre dans un pays développé....(financièrement surement)
Donc, sur ce « covid long », expurgé des problématiques connues pour ceux qui ont reçu un traitement de choc, n’est il pas le reflet d’une fragilisation non pas naturelle, mais « consécutive aux progrès » de la capacité à l’humain de se « régénérer » à la manière d’une cicatrisation d’une coupure. Car finalement, que sait-on de l’influence réelle des progrès « pharmaceutique » à très long terme, sur plusieurs générations ? Quelles sont les modifications profondes et insidieuses qu’ils ont entrainé ?
Ces progrès ont permis quand même d’éradiquer certains vrais fléaux, il me semble que le C19 ne fasse pas partie de cette catégorie, malgré que l’on tente de nous prouver le contraire, car si ce dernier ne fait pas de distinction territoriale, ni de race dans ses méfaits, il tue assez sélectivement, même si de temps à autres il y a quelques dégats collatéraux, dont ont ne nous pas dit pas tout sur le profil de la personne.....