@moderatus
Certains statuts liés aux conventions droit-de-l’hommistes constituent des filons d’immigration : les « mineurs non accompagnés » et les « demandeurs d’asile ». Les premiers ne sont pas refoulables quoiqu’il arrive, les seconds se voient à 80% refuser l’attribution du droit d’asile, mais étant sur place, seul quelques pourcents sont renvoyés dans le pays d’origine (souvent non établi avec certitude). Dès lors que le concept de « réfugiés climatiques » a été introduit, la source potentielle est intarissable.
Certains hommes politiques préconisent un moratoire sur l’immigration, mais sans remise en cause de ces « backdoors ». Il faudrait les inclure dans un moratoire, le temps de solder les dossiers, incluant expulsions d’irréguliers, avec des exceptions si le dossier est déposé et accepté avant d’entrer sur le territoire. Un indicateur du « taux effectif d’intégration » (travail, acculturation, taux de délinquance...) permettrait de mesurer le gap à résorber.
Après reconstitution des capacités d’accueil, la procédure pour maîtriser les flux serait de de fixer annuellement par le parlement des quotas globaux, demandes d’asile et mineurs inclus. En effet, de même qu’un « foyer d’accueil » a une capacité déterminée, un pays a également des capacités limitées.