@gruni
Mais dans le cas présent, c’est bien l’ordre des médecins qui a interdit aux médecins de terrain d’utiliser un antibiotique macrolide chez les personnes présentant les symptômes d’une pneumonie et/ou du SARS-COV2 (puisque les symptômes sont les mêmes).
Cette histoire est totalement folle. Nous avons la preuve que le conseil de l’ordre a intimé « l’ordre » aux médecins qui utilisaient un antibiotique macrolide, chez leurs patients qui présentaient des symptômes de pneumonie (équivalents à ceux du SARS-COV2), de ne plus les utiliser. Or, tous les médecins savent que les antibiotiques macrolides sont d’un grand secours pour soigner les sur-infections bactériennes à la suite d’un épisode viral.
L’Institut Pasteur peut dire que c’est la sur-infection bactérienne qui est dangereuse après un choc viral, mais tout le monde s’en tape ? Ce n’est pas important pour « sauver des vies » ? A ce stade de « désinformation » nous dépassons les limites de la décence et de la morale et nous entrons de plain pied dans une autre dimension que je n’ose pas nommer.
Est-ce que les mots ont un sens ?
« La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes” à risque”, c’est donc tout l’enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales. »