@gruni
Je résume ce que vous n’avez pas compris. Vous avez même l’audace de m’accuser de « négation ».
Alors en quelques mots. En situation de « sur-infection » bactérienne il faut utiliser des antibiotiques (type macrolide en situation de sur-infection bactérienne des voies respiratoires). Est-ce que ça vous arrivez à comprendre ? Il s’agiit d’une « sur-infection bactérienne » dans l’adjectif « bactérienne » il y a « bactérie » ? Vous arrivez à comprendre ?
Et, comme le signale l’institut Pasteur, les gens ne meurent pas du virus mais de la sur-infection « bactérienne » (en présence de « bactéries »-. Il faut donc les soigner à l’aide d’antibiotiques « anti-bactériens ». Vous avez la « comprenette » difficile ou vous le faîtes exprès ?
L’institut Pasteur relate même ceci, c’est dire que vous ne comprenez vraiment pas ce que vous écrivez :
« Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole.
Vous avez vu bruni, c’est en gras : surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une »bactérie« des voies respiratoires.
J’espère pour vous que vous le faîtes exprès ! Est-ce que vous niez le fait que les antibiotiques sont utiles pour soigner les infections bactériennes ?
Dire que je vous pensais »honnête" !