@Gollum
Ce que j’écris sur la géométrie euclidienne, c’est qu’elle est le fond, la trame nécessaire pour pouvoir définir toutes les géométries non euclidienne, qui sont des restriction de la géométrie euclidienne.
Elle renvoie au fameux éther, dont Einstein lui même après avoir dit qu’il n’était pas nécessaire, était revenu sur sa position pour plaider en faveur de la présence de l’éther. Et de fait, selon le principe de causalité non aristotélicien, un principe étant fondamentalement (dans sa condition d’existence) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, et une onde ne pouvant exister que s’il existe un milieu porteur, il doit obligatoirement exister un milieu porteur pour les ondes électromagnétique et avec ses propres propriétés, c’est à dire, statique et non local, c’est à dire, reposant sur la géométrie euclidienne. Car c’est la seule qui repose sur ll’isotropie parfaite en tout lieu,, les géométrie non euclidienne n’étant pas isotrope en raison de la courbure. Autrement dit, les géométries non euclidienne sont des formes d’émergences de la géométrie euclidienne via la matière.
Et si les expérience de Michelson n’ont pu repérer l’éther, c’est qu’un milieu statique ne peut pas être repéré dynamiquement ! Mais ce n’est pas parce qu’on ne peut pas l’observer qu’il n’existe pas, car sans lui, il est impossible d’expliquer la non localité. Et sans le principe de fractalisation, il est impossible d’expliquer la mq et la relation entre la mq et la relativité et tout le processus évolutif de l’Univers.
C’est de la logique élémentaire !
Sinon, effectivement, je vois de la causalité partout, je ne le nie pas, je le revendique.
Et je persiste à dire que je n’ai lu aucun compte rendu d’expérience de mq ayant pris en défaut la causalité dans la réalité physique.
Citez m’en une que je ne pourrai pas expliquer par le principe de relations de causalités et je reverrai ma position.. Au moment où j’écris ce post, je n’ai pas lu l’article, mais je note que l’auteur commence par dire que si la mq supprime la causalité dites aristotélicienne, elle fait apparaît la causalité ici dites quantique. Qui ne peut être que la même que celle qui me sert de mode de pensée ;
Disons que si je veux me la péter en parlant comme Einstein, je dirai que la causalité dr’Aristote est une causalité restreinte, locale, alors que la mienne est une causalité générale, locale et non locale.