A propos de l’élection présidentielle du régime criminel des mollahs. J’ai toujours témoigné ici, mon respect pour le grand peuple iranien qui se bât avec courage pour sa liberté , malgré la répression implacable des pasdarans , cette oligarchie , des gardiens de la révolutions qui accapare la richesse du pays. C’est un Etat dans l’Etat. Je n’oublie pas les admirables femmes iraniennes emprisonnées et qui souffrent , du silence des médias occidentaux .lâches.
Sans être un devin , mais connaissant un peu les arcanes , de la politique du régime criminel des mollahs , j’avais pressentit , la victoire à la présidentielle du bourreau , Ibrahim Raïssi , en répondant a deux articles concernant l’élection en Iran, sur AgoraVox.
- « La démocratie selon le Guide suprême » du Dr Salem alketbi du 1er juin 2021. et
- « L’élection présidentielle iranienne , une mise à l’épreuve de la légitimé du régime à Téhéran » de Hamid Enayat du 4 juin 2021.
- Si l’élection présidentielle était connue d’avance et à conforter les tenant du pouvoir. Il reste à redresser et à améliorer la situation économique du pays. Pour cela il faut passer par la levée des sanctions internationales et récupérer , les avoirs bloqués. Une signature est indispensable d’un accord avec la communauté internationale. La chute des entrées des devises à réduit les capacités d’importations du pays. notamment de médicaments. Les réserves de changes de l’Iran des mollahs seraient de moins 100 millards de dollars. La baisse des recettes budgétaires de l’Etat a entraîné la réduction des dépenses sociaux. L’effondrement du système bancaire a augmenté les circuits parallèles de la corruption. Selon les autorités , le chômage se situe 17%, beaucoup plus en général et frappe les plus diplômés. Inflation à plus de 30% et le rial ne vaut plus que 0, 0002 euros , ce qui pousse à la course au dollar. Le PIB par habitant était en 2011 de 7719$ il est aujourd’hui de 5628 dollars. Sans parler de la population qui est passé de 37 millions en 1979 ( année de Khomeiny) à 85 millions aujourd’hui. Un changement de politique est vraiment nécessaire.