@eddofr
Pour avoir vu ou visité quelques sites (Buchenwald, Auschwitz...), vu
des archives photos, lu des témoignages, peut-on mettre en doute la
Shoah ?
La réponse est non, mais si on ne souhaite pas tomber dans le simplisme, un raccourci, il faut savoir que ces camps dans lesquels des gens ont été « déportés », dont de nombreux juifs de Pologne particulièrement, ils n’étaient pas des camps d’extermination à la base, mais des camps de travail, avec certainement des conditions de vie très difficiles. Un article qui pourrait vous éclairer, et contextualiser cette très vilaine page d’histoire :
Le complexe d’IG Farben à Auschwitz : l’essence de la guerre
Le nom Auschwitz n’évoque ni l’essence synthétique ni le caoutchouc synthétique, on ne dit jamais rien du rôle industriel d’Auschwitz ni de l’intérêt stratégique que les Américains portaient à ce complexe après Pearl Harbor.
Arthur Robert Butz est l’auteur de « La Mystification du XXe siècle », un pavé de six cents pages paru en 1976, voici quelques passages de ce qu’il indique sur le rôle industriel d’Auschwitz :
(...) « Quand l’Allemagne annexa une grande partie de la Pologne, en 1939, elle entra en possession des grands bassins houillers de la Haute-Silésie. Il fut naturellement décidé de les exploiter et l’on étudia les possibilités d’y installer une usine d’hydrogénation et de fabrication du buna. L’on constata que la petite ville d’Oswiecim » (13 000 habitants) en allemand « Auschwitz, était située de manière idéale car les trois rivières qui y confluaient pouvaient fournir l’énergie nécessaire tandis qu’il existait également une quatrième rivière à proximité pour l’évacuation des déchets. En outre, Auschwitz se trouvait à la limite sud des bassins houillers de Silésie, la région minière de Pologne autour de Kattowitz. Au début de 1941, la décision fut prise de construire une usine d’hydrogénation et de fabrication de buna à Auschwitz. » (...)
https://reseauinternational.net/le-complexe-dig-farben-a-auschwitz-lessence-de-la-guerre/
Ces sites industriels hautement stratégiques ont été bombardés en 1944 par les Alliés...
On trouve l’ouvrage de Arthur Robert Butz au format PDF sur le web, si vous souhaitez en savoir davantage, et à vous d’apprécier, si ce document est révisionniste ou non, ce qui peut relever d’une certaine subjectivité intellectuelle.
De l’épuration_exclusion, à l’élimination _extermination il y a un
gouffre. Que les nazis ont franchi à un moment donné, il est vrai, après la Conférence de Wannsee 20 janvier 1942. Jusqu’à cette époque sionistes et nazis collaboraient, exemple l’accord de transfert
(Haavara), ils partageaient des objectifs communs, la pureté de la race, le nationalisme, et pour certaines factions sionistes, le fascisme...
Les contacts secrets : le sionisme et l’Allemagne nazie, 1933 – 1941
Par Klaus Polkehn, Journal of Palestine Studies – 1976 traduit de l’anglais par Djazaïri
https://mounadil.wordpress.com/2013/01/27/le-sionisme-et-le-regime-nazi-un-texte-important-de-klaus-polkehn-enfin-disponible-en-francais/
Les britanniques étaient hostiles à une émigration massive en Palestine
1939 est l’année du «
Troisième Livre blanc », publié le
17 mai 1939 (soit 3 mois et 1/2 avant l’entrée en guerre WW2) à la suite de la
Grande Révolte arabe en Palestine mandataire (1936-1939) par lequel les Britanniques arrêtent de fait toute immigration juive.
Un État palestinien unitaire (donc à majorité arabe) est promis pour 1949. C’est la rupture avec le mouvement sioniste.
L’immigration
juive est limitée à 75 000 personnes sur une durée de 5 ans, afin que
la population juive ne dépasse pas le tiers de la population du pays. De ces 75 000 entrées sera déduit le nombre d’immigrants illégaux interceptés.
Sur le nombre de morts « Shoah », tout le monde s’accordera pour dire « un très grand nombre », et le qualifier de « génocide », cependant le chiffre de six millions retenu au Procès de Nuremberg, ou par des auteurs (?) est juste suspect et a été remis en question par certains puisqu’il circulait depuis le milieu du XIX° siècle dans différentes publications.