@sylvain
il y a une bonne femme, scientifique russe ou apparentée qui a démontré la pertinence de certains cycles que le GIEC ne veut pas prendre en compte.
Je n’ai pas le temps de chercher, je donnerai si je trouve le nom plus tard.
En tout etat de cause, les « gretaeries » et autres analyses du genre, l’extinction des especes etc... sont nulles et non avenues. ,Les differentes periodes de refroidissement et de rechauffement passées auraient eu les mêmes effets si la population mondiale eut été la même que maintenant... sauf qu’a ces époques, la nature (et donc les espèces) avaient des zones de replis qui sont maintenant occupées par les hommes.
Idem pour le CO2, les effets sa diminution comme son augmentation ont été occultés par la faible densité humaine et on peut même dire qu’il n’y avait ni voiture, ni industries a ces époques pour justifier les variations de temperature.
Le GIEC, ne l’oublions pas est une organisation politique, créee et utilisée pour prendre des décisions politiques.
Enfin, nous savons par exemple que le niveau des mers fut beaucoup plus bas ou beaucoup plus haut selon les époques ce qui demontre par un simple raisonnement technique que les climats ont changés et nous n’etions pas là pour en être responsable.
L’homme doit tout faire pour rendre acceptable les evolutions climatiques dont il n’est pas responsable, mais les outils pour ce faire manquent : s’il n’a pu provoquer le changement il ne pourra pas de « dé-provoquer », les outils manquent toujours.
Soyons serieux, adaptons nous et protégeons ce que nous pouvons proteger par exemple en creant des sanctuaires (de repli) de la nature et en rendant plus efficaces les outils ne notre propre vie et survie... supprimer ce qui fait la nature industrieuse de l’homme est une erreur, car c’est aussi une partie de la solution et bien sûr notre raison d’être.
Les suicidaires, qu’ils se suicident sans emm..der les autres