@Jean-Pascal SCHAEFER bonjour,
S’il y a eu un passionné du numérique, ne cherchez pas, c’est moi.
De formation scientifique, j’ai switché sur ce qu’on appelait encore à l’époque « Informatique » avec les TIC. Cela remonte donc très loin dans les années 70 et tout était à faire, tout à écrire avec des outils en pleine évolution pour traduire les pensées humaines en langage machine.
J’ai tout connu ou presque avant que n’arrive vraiment les TIC au complet.
Dans les années 90 pendant lesquelles le Web est apparu et que ce n’était plus que du Traitement de l’Information destinés aux professionnels.
Les tics et puces sont arrivés, attirés comme des mouches par les odeurs d’intérêts multiples ... 
On peut considérer que nous sommes arrivés à l’époque du « Tous crétins digitaux » ? Quand on voit les jeunes les yeux plantés sur leur smartphones pour contacter les copains, on pourrait le penser.
Mais les TIC peuvent être aussi tout autre chose même si l’information transite dans le cloud (dans les nuages)
Bien sûr que ce qui est arrivé, je m’en doutais depuis longtemps.
C’était écrit sans factures.
Le geek Zuckerberg opportuniste par Facebook alléché a très bien compris ce qu’il pouvait en tirer de cette ruée sur les écrans de toutes tailles.
On est arrivé à l’idée « Du code jusqu’à la nausée »
Sans être un prévisionniste, nous sommes encore dans la caverne de Platon et on voit une lueur au bout du tunnel.
L’histoire qui suit, deviendra encore plus palpitante.