@slave1802
On ne demande pas aux personnes hospitalisées leur carnet de vaccination, une immense partie de la population n’en a pas d’ailleurs, et ce sont des données de santé personnelles qui sont confidentielles d’ailleurs.
Le DTP a été obligatoire pendant longtemps, pour les autres non, le BCG ne sert à rien, seule la France a continué à l’inoculer jusqu’en 2007, tous les autres pays l’ayant abandonné pour les problèmes qu’il causait, et preuve qu’il est inutile, les cas de tuberculoses ne sont pas plus nombreux dans les pays qui vaccinaient comme la France, que dans ceux qui l’avaient abandonné dès les années 70, comme l’Allemagne, la Hollande.
Pour l’hépatite B, les risque des transmissions sont très minimes, par voies sanguine, ou sexuelle uniquement. Utilité de la généraliser ?
https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/hepatite-b-une-histoire-sulfureuse-126434
« Nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B, c’était
la première fois qu’un vaccin était protégé par brevets. Nous avons tous
les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir
sur le marché, eh bien vous allez devoir négocier avec nous. Je pense
que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful,
et après on a développé des vaccins combinés, c’est à dire on a mis
l’hépatite B avec tout autres produits qui n’étaient pas protégés par
brevets, et en faisant ça, on rendait évidemment les produits combinés
protégés.
Et donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça... »
Le laboratoire a donc cherché à créer un monopole, et il a commercialisé des vaccins multiples parce qu’il les trouvait plus rentables.
source : VIDEO. Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?
Une vidéo compromettante
Pour deux cadres du laboratoire
GlaxoSmithKline (GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s’agit
d’abord de considérations de santé publique – lutter contre l’hépatite B
–, et en aucun cas de raisons commerciales ou de rentabilité.
Pourtant, Sophie Bonnet s’est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l’on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les brevets sur le vaccin contre l’hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l’hépatite B aux cinq autres vaccins : « C’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. » Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu’il les trouvait beaucoup plus rentables.
Extrait d’« Envoyé spécial. Se soigner à quel prix ? » du 11 février 2016.
18/07 11:31 - pierrot
@njama Il faut prendre en compte que le nombre de doses vaccinales augmentent très vite et que (...)
17/07 19:24 - Adèle Coupechoux
@Adèle Coupechoux En plus, il n’est pas prévu de surveillance des effets indésirables. (...)
17/07 19:20 - Adèle Coupechoux
@V_Parlier le papier est introuvable parce qu’il n’existe tout simplement pas, il (...)
17/07 19:16 - Adèle Coupechoux
@Pierre Parce que dans les dictatures, personne ne manifeste ? Et les répressions qui en (...)
17/07 12:11 - alinea
@Montagnais Ce qui prouve que la bonne éducation, l’instruction, l’abondance, ça (...)
16/07 18:35 - véronique
@Pierre La dictature est la concentration de tous les pouvoirs entre les mains d’un seul (...)
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