@Claude Courty
Vous semblez oublier que sans l’épidémie antérieure de diabètes, obésités et l’allongement très significatif de l’espérance de vie, les chiffres de mortalité dûs à ce virus seraient très inférieurs. Il est quasiment sans danger au dessous de 60 ans sans comorbidité, hors c’est le public aujourd’hui visé y compris les très jeunes pour lesquels il est quasiment inoffensif (plus de suicides chez les jeunes pendant le confinement au Royaume Uni que de décès dû à ce coronavirus.
Mais concernant la sûreté et l’innocuité des vaccins couramment utilisé, R. Malone (qui est un des pères du développement des vaccins ARNm) dit dans une vidéo que les agences de régulation connaissaient les données de biodistribution du vaccin Pfizzer et que personne ne comprend pourquoi la protéine « Spike » diffuse dans l’organisme et se concentre sur les ovaires et dans la moelle épinière. On peut raisonnablement s’attendre à des cancers du sang et des ovaires, à l’apparition de maladies auto-immunes et on a observé également le réveil de certains rétrovirus dans le corps humain. Cela ne peut avoir que des conséquences visibles à échéance de quelques années, mais c’est clairement un pari, vu qu’on a déjà eu pas mal de surprises (pas imprévisibles vu que ces produits sont en phase de tests et auraient dû le rester pendant au moins un an ou deux...).
Utiliser une nouvelle technologie, s’abstenir de tout recul et vacciner à très grande échelle pour couronner le tout pourrait rester dans l’histoire de la médecine comme la plus grosse connerie jamais faite en matière de santé publique..
J’espère que non, mais je ne vais tenter ma chance et je n’ai rien contre les vaccins en général et des doutes sérieux sur ceux là.