@cettegrenouille-là

Bonjour la grenouille,

et merci pour cette réponse (la seconde ! après celle de gnozd),

nous n’avons donc pas la même compréhension du texte.
Alors petit explication de texte à ma façon. Et j’attends la votre (c’est ça la construction d’un accord ou d’une absence de désaccord, le dialogue explicite, complet et suffisant -pas de fioritures inutiles et encore moins des insultes- mais, c’est sûr, c’est plus long qu’un anathème cinglant et sans plus d’explication)

D’abord Barnabas exprime son opinion personnelle (c’est ça la liberté d’expression) :
« vous commencez à me les briser menues »
« vous n’avez pas retenu la leçon »

il indique qu’il a manifesté une fois et qu’il a été désillusionné :
« J’ai été manifester samedi, »
« une fois sa promenade finie »

il juge (c’est toujours son opinion) les manifestants et reconnaît qu’il est pareil (peut-être là vous pouvez lui faire la critique qu’il juge mal et argumenter...)

« nous sommes tous devenus un peu lâches, un peu mous, un peu minables. »

Et enfin il donne des solutions pour que la colère du peuple soit efficace :

« Soit on y va avec la ferme intention de les prendre par le col pour les traîner »
« tout autour de la périphérie de la capitale pour l’asphyxier ; être mobile, dispersés par petite grappes »

Mais vu ce qu’il a reconnu au-dessus, ça ne risque pas d’arriver...

Quant aux révolutionnaires en carton, méfiez-vous qu’ils ne vous embringuent dans des situations irréversibles et catastrophiques en prenant bien soin (eux) de rester à l’arrière, près des voies d’évacuation rapide...
Donc toujours réfléchir avant.
Quant à moi, je ne me prononce pas sur les manifestations (je ne vais pas rajouter de l’huile sur le feu) j’intervenais pour renforcer les commentaires de Lampion en insistant sur mon point de vue qui est que le problème fondamental c’est l’argent (le capitalisme n’étant qu’une forme de sa concrétisation politique). Mais ça, je pense que peu de gens sont capables de l’entendre.