La science, la recherche, le doute.
Un exemple d’un phénomène de société avec évidence de détournement de la recherche :
L’énergie vitale. Par les temps passés, c’était un sujet intéressant la médecine mais elle s’est tournée vers un objectif financier de vente de médicaments, c’est parfaitement visible en France.
Naturellement, affirmer qu’un organisme, quel qu’il soit, est constitué de deux composantes, une matérielle que l’on connait, et l’autre vibratoire dont je perçois l’altération, n’est plus admissible. On met en avant la science alors que la biologie ne se met pas en équation.
En réalité, il n’est pas possible de faire des profits suivant une logique d’expansion avec la compensation de manque d’énergie vitale donc aucune recherche mais aussi une certaine forme de chasse aux sorcières.
Pendant le confinement, les soins énergétiques ont été stoppés : combien de malades ont dû subir l’interdiction ? De nombreux médecins connaissent très bien l’importance de ces soins qu’ils qualifient pour la plupart de placebo sauf que les souffrants soignés par cette méthode ne viennent pas s’en vanter auprès de leur médecin.
En conséquence, il est grand temps que des autorités scientifiques indépendantes de toute pression financière prennent des décisions de recherche fondamentale pour faire avancer la connaissance avec un financement d’état.
Même avec peu de moyens, il est possible d’avancer :
J’ai, par exemple, mis au point un protocole permettant de prouver la transmission d’information à distance sur base d’énergie vitale mais il est bien évident que je ne risque pas de sortir du bois compte tenu du sort réservé à ceux qui sont trop novateur en bousculant l’ordre établi.