Il n’est pas interdit d’essayer de provoquer, que ce soit ici ou ailleurs, une prise de conscience collective susceptible de faire évoluer le système.
C’est déjà en partie le cas avec l’orgone puisque c’est l’obtention de résultats qui poussent, par le bouche à oreille, les souffrants à prendre contact avec moi depuis 30 ans mais il est bien clair que l’absence d’éventuels profits bloque la recherche dans ce domaine.
Une organisation centralisée ne peut absolument pas bloquer toutes les communications directes de la population, en particulier le bouche à oreille.
Les médecines naturelles ou alternatives se développent de plus en plus, c’est déjà un progrès. Elles ont l’avantage, pour la plupart, de ne pas perturber le fonctionnement de l’organisme et surtout de le laisser réagir face aux agressions contrairement à ce qui se passe, par exemple, avec les antibiotiques.
1) L’absurdité des tests randomisés effectués sans d’ailleurs obtenir de résultats viables avec non respect du code de Nuremberg, une honte susceptible de condamnations.
2) Les autorités n’ont rien compris ou plutôt c’est volontaire :
Il est absurde et faux de communiquer sur le taux d’incidence alors que l’on connait le taux de positivité.
Il est bien évident que tester deux fois plus va, mécaniquement doubler le nombre de positifs mais le taux de positivité va rester constant.
3) J’ai communiqué, sur un autre post, la nécessité d’équiper en filtrage et désinfection permanente pour un coût acceptable tous les lieux à forte concentration de population.
Cette décision aurait permis de laisser tous les commerces ouverts avec le grand avantage d’être efficace sur le long terme. C’est déjà utilisé pour les lieux critiques mais la généralisation pourrait empêcher les futures contaminations virales et bactériennes, ce qui induirait une perte de revenu pour le « système » de santé, cherchez l’erreur.
4) Le vaccin semble avoir une durée d’efficacité limitée, il y a tromperie sur la marchandise mais il y a peut-être pire : efficacité pour contrer le virus dans un premier temps et altération du système immunitaire dans un deuxième temps qui ne chercherait plus à protéger l’organisme : à voir sur le long terme.
Un exemple d’un phénomène de société avec évidence de détournement de la recherche :
L’énergie vitale. Par les temps passés, c’était un sujet intéressant la médecine mais elle s’est tournée vers un objectif financier de vente de médicaments, c’est parfaitement visible en France.
Naturellement, affirmer qu’un organisme, quel qu’il soit, est constitué de deux composantes, une matérielle que l’on connait, et l’autre vibratoire dont je perçois l’altération, n’est plus admissible. On met en avant la science alors que la biologie ne se met pas en équation.
En réalité, il n’est pas possible de faire des profits suivant une logique d’expansion avec la compensation de manque d’énergie vitale donc aucune recherche mais aussi une certaine forme de chasse aux sorcières.
Pendant le confinement, les soins énergétiques ont été stoppés : combien de malades ont dû subir l’interdiction ? De nombreux médecins connaissent très bien l’importance de ces soins qu’ils qualifient pour la plupart de placebo sauf que les souffrants soignés par cette méthode ne viennent pas s’en vanter auprès de leur médecin.
En conséquence, il est grand temps que des autorités scientifiques indépendantes de toute pression financière prennent des décisions de recherche fondamentale pour faire avancer la connaissance avec un financement d’état.
Même avec peu de moyens, il est possible d’avancer :
J’ai, par exemple, mis au point un protocole permettant de prouver la transmission d’information à distance sur base d’énergie vitale mais il est bien évident que je ne risque pas de sortir du bois compte tenu du sort réservé à ceux qui sont trop novateur en bousculant l’ordre établi.
@Laulau Les décisions prises ne correspondent pas au pragmatisme et à l’efficacité que l’on est en droit d’attendre. Ce qui importe actuellement, ce n’est pas de soigner efficacement les souffrants mais d’imposer des vaccins pour satisfaire Big Pharma.
C’est parfaitement clair et les labos se sont imposés en téléguidant des marionnettes : le Pr Raoult a quitté le conseil scientifique en mars 2020 n’étant pas d’accord avec la stratégie proposée et les médecins ont ensuite reçu l’interdiction de soigner dans leurs cabinets. La suite des erreurs est longue.. Je ne reviens pas dessus.