Intéressant mais confus !
Bonne idée
éclairante de dualiser, opposer, dialectiser, re-présenter les
dynamiques d’idées de Malthus & Godwin comme une clef d’intro
parmi d’autres au problème de la démographie globale du fait
techno-social en pleine révolution industrielle capitaliste
transitoire d’alors, aujourd’hui parvenu à un stade de contradiction
paroxystique.
Par contre j’ai pas compris ni trouvé
dans l’article comment ni de quoi étayer sa lecture axiologique de
genre (féminin-masculin, bien-mal), annoncée dans le titre,
appliquée à ces deux approches apparentées et contradictoires.
Le
sous-jacent non dit de l’exposé semble dualiser un socialisme
féminin(iste) bourgeois et un rationalisme froid masculin(iste)
latents. C’est flou.
Notons qu’il y a déjà autant via Malthus
que Godwin un complexe tendanciel convergent de classe, très
anglo-saxon, vers l’esquisse d’un eugénisme transhumaniste
(immortalité statique) et de la nécéssaire débiologisation,
désexuation de l’humain-masse qui va avec.
Nous sommes peut-être sur ce
point en pleine actualité occidentale contemporaine. Le
totalitarisme pseudo-vaccinal n’est-il pas une réinstanciation
cyclique par la classe dominante des délires morbides d’une Mary
Shelley, c’est à dire finalement du progressisme déshumanisant !
Voire.
On attend la suite de l’article pour ne pas rester au
milieu du gué...