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Commentaire de Legestr glaz

sur Covid-19 : la France plus vaccinée que le Royaume-Uni


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Legestr glaz Legestr glaz 28 août 2021 20:17

@Martha

Remettons l’église au centre du village. De quoi parle t-on lorsque l’on parled’utiliser la « vaccination » en période épidémique ? 

Réfléchissons à partir de la base et de ce que l’on attend d’un « vaccin ». Je parle vaccin « traditionnel ». Un vaccin permet au système immunitaire de se mettre en alerte devant l’attaque d’un virus donné. Les « coordonnées » de ce virus sont inoculées par vaccin (fragment de virus, version atténuée de celui ci ou virus désactivé). Le système immunitaire garde en mémoire le « ’profil » de cet intrus. Ainsi, lorsque le virus en questioninfectera la personne vaccinée, son organisme sera prêt à répondre à cette attaque par son système immunitaire.

En somme, on attend d’un vaccin qu’il fasse « gagner » du temps, en se mettant en action rapidement lors d’une ttaque virale puisque l’organisme aura déjà produit des anti-corps. Ceci est la théorie. Mais, tout le monde le sait, le système immunitaire ne se limite pas à la production d’anticorps ! Il est évident que nous ne connaissons pas tout de son fonctionnement. Par ailleurs, les vaccins ne peuvent, en aucun cas, renforcer notre système immunitaire. Les personnes possédant un système immunitaire affaibli ne verront pas ce système se renforcer après vaccination. Il reste ce qu’il est ! 
 
C’est ainsi que la première ligne de défense immunitaire, celle constituée des mucus des voies respiratoires et des peptides antimicrobiens qui y résident, ne peut pas être mise en mouvement par les « vaccins » ! 

Ces peptides antimicrobiens, dont la fameuse cathélicidine, sont largement distribués dans l’organisme humain et, principalement, dans les couches de mucus. Ils sont conçus pour empêcher la colonisation des agents pathogènes. On ne connait même pas encore toutes leurs possibilités d’action. Ils ont une activité anti-microbienne très puissante. Ce sont de véritables « antibiotiques » naturels, antibiotiques fabriqués par l’organisme. Pour des raisons trop longues à expliquer ici, les personnes souffrant de certaines comorbidités, celles qui sont victimes très souvent des attaques des coronavirus, SARS-COV2 et variants, ne produisent plus de « peptides antimicrobiens ». Par ailleurs, pour d’autres raisons, connues aussi celles là, le mucus des voies respiratoires à tendance à disparaitre chez ces personnes. Leur première ligne de défense contre les agents pathogènes devient « inexistante » ! 

« Les peptides antimicrobiens sont des constituants majeurs de l’immunité innée de l’homme au niveau des barrières anatomiques (différents épithéliums) et au sein des polynucléaires neutrophiles. Ces peptides sont retrouvés dans tous les organismes multicellulaires et constituent un mécanisme de défense ancestral puisqu’ils sont retrouvés chez les vertébrés, les invertébrés et les plantes. Ils ont généralement un spectre anti-infectieux large regroupant une action sur des bactéries, des champignons et des virus. Chez l’homme, 2 familles de peptides antimicrobiens ont une activité prépondérante  : la famille des cathélicidines et celle des défensines. Leurs mécanismes d’action variés, dont l’activité lytique sur la paroi bactérienne, expliquent leur effet antibactérien. »

En période épidémique, et même hors période épidémique, la « recherche » aurait plutôt intérêt à se pencher très sérieusement sur le maintien opérationnel du système immunitaire humain. Parce que la « vaccination » ne peut pas atteindre le niveau de défense des différents niveaux de notre système immunitaire. Par ailleurs, les « vaccins » ont toujours, toujours, un temps de retard sur l’émergence du niveau virus infectieux. Ils sont donc inefficaces dans la population cible.

https://www.researchgate.net/publication/330666176_Les_peptides_antimicrobie ns_humains


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