Le premier bourricot venu comprend vite à partir des informations déjà connues que le laisser passer administratif improprement appelé « pass sanitaire » n’a rien de sanitaire puisqu’il n’est pas un « certificat de non portage viral ».
Il y a donc discrimination arbitraire entre citoyens fondée non sur des critères objectifs ayant une finalité , les « barrières au virus » d’une part et les « potentiels propagateurs » de l’autre, mais sur une présomption d’innocence pour les premiers et de culpabilité pour les seconds.
C’est la poursuite d’un déni des informations scientifiques contraires à l’agenda public un peu partout sur la planète qui est d’oublier l’ensemble des causes ayant créé cette épidémie et écoper avec de pseudo vaccins offrant pour un semestre une protection notable mais pas totale contre les formes graves de la maladie et rien d’autre.
Quand la quasi totalité de la population aura été soumise dans la violence à cette expérimentation qui a déjà tuée plus de personnes que tous les vaccins administrés depuis des décennies et qu’on en verra l’échec patent, on passera à autre chose.
On voit tout le bénéfice d’avoir délégué la recherche médicale au privé quand on sait que les « vaccins » à ARNm auraient pu être testés depuis plus de 20 ans pour en tester la sécurité sur quelques milliers de personnes et qu’on aura préféré la tester sur des centaines de millions, sans même être le dos au mur. Il est abject de priver des moyens d’existence des gens qui font un choix ne mettant en danger personne s’ils ne sont pas sujets à risque mais la raison d’Etat, toussa toussa...