A l’heure où tout le monde pleure ses libertés perdues, la
seule solution apportée au chaos sécuritaire engendré par les lois
criminelles de la prohibition, consiste à ignorer la réalité et à
balayer toute forme de d’opposition qui puisse mettre un terme au
trafic et à la persécution inacceptable de millions de nos
citoyens. De fait le débat anti-démocratique ne compte de ceux qui
en savent le moins et en parlent le plus, juste pour ne rien changer,
voire aggraver l’échec total d’une répression liberticide impopulaire.
Nos commerciaux de
l’audace ne font que fournir une clientèle qui sera toujours là,
y compris sans la participation de nos compatriotes, sachant que
l’état est libre de ne pas considérer les 70 % de Français
favorables à la légalisation du cannabis, que ce dernier est légal
outre atlantique et coté en bourse à Wall-street (Marijuana Value
Market... vérifiez par vous-même), et dont le Maroc (ennemi des
prohibitionnistes) légalise à son tour le commerce de « la
drogue » qui rends malade les saintes-ni-touches et mijaurées
de la classe politique dirigeante minoritaire.
Cependant, malgré
les mesures de répression anti-constitutionnelles engagées contre
près de 20 millions d’usagers de « drogue » Français,
les élus responsables des crimes qui ont votés ces lois et du
trafic sur notre territoire, se permettent d’accuser nos
concitoyens stigmatisés d’être les responsables du trafic… Hors
sans lois de prohibition, le trafic n’existe pas ! Et d’autre
part, les accusés ne peuvent êtres les responsables de lois
auxquelles ils n’ont pas pu participer par un déni de démocratie
organisé (pas de consultations publiques, pas de sondages et pas de
référendums).
Somme toute, les
Français n’ont pas l’intention de se soumettre à la dictature de privation
de cannabis organisée par le mensonge et l’ignorance de l’état,
car l’auto-culture en développement n’attends pas le bon vouloir
du législateur, et c’est déjà le projet de reprise économique
envisagé pour mettre un terme à cette incurie qui ressemble de plus en plus à un génocide culturel, qu’à la
bienfaisance d’une politique de santé publique (ou l’alcool et
neuroleptiques plus dangereux ne sont pas prohibés). Cela bien-sur, sans compter sur les prochaines élections dont l’issue sera assurément la même que les fois précédentes...