@eau-pression
Quelques affirmations mi-choux, mi-chèvre :
« L’une
des conclusions essentielles, c’est que le vaccin contre le
covid-19 est efficace mais qu’il n’est pas suffisant
pour combattre la pandémie, les gestes barrières restent des
mesures indispensables. »
« ...l’immunité
collective, ce qui est un concept assez confus et incertain pour le
covid-19 »
On
y vient enfin, en
contradiction avec les propos lénifiants de l’inconstant Véran en
juillet : "Là
où il y a le pass(e) sanitaire« anti-Covid-19, les personnes
»pourront enlever le masque« , car »ça veut dire qu’on
est sûr que toutes les personnes qui rentrent sont vaccinées
complètement ou ont un test très récent qui est négatif".
Ben non l’exemple
éloquent d’Israël prouvant que le virus circule également
abondement parmi
les vaccinés !
Quant
à la notion d’immunité collective comme objectif incontournable,
entonnée jusqu’à plus soif par toutes les sommités médiatiques,
elle ressemble de plus en plus à une théorie dégainée au doigt
mouillé, bien loin de la prétendue rigueur scientifique
revendiquée...
« Pour
prévenir les contaminations, dans la mesure où il y aura toujours
une partie de la population qui n’est pas vaccinée, il faut garder
le port du masque et les autres gestes barrières, dont le passe
sanitaire. »
Et vlan, retour aux anciennes lunes. L’analyse de terrain, en
Israël, semble pourtant démontrer que quand bien même la
population serait vaccinée à 100 %, le virus passerait et
qu’une protection réduite à 85 % (pour faire vite) a pour
conséquence 15 % de personnes développant des formes
potentiellement graves sans qu’il soit besoin de faire intervenir
le bouc émissaire repoussoir des non vaccinés (d’où également
l’inanité du spot télévisé sur les 80 % des hospitalisés
non vaccinés : plus la vaccination progressera, plus ce
pourcentage est condamné à s’inverser).
Dur, dur, de devoir coller à la doxa officielle sans pouvoir
reconnaître erreurs et approximations !