Je voudrais
vous mettre un peu de baume au coeur par 3 textes prophétiques qui se suivent
chronologiquement, malgré le constat accablant que vous faites et dont je ne
doute pas qu’il soit juste.
Premier
texte : Dieu va se réveiller et agir par des cataclysmes en France et
nommer un Roi :
https://www.biblegateway.com/passage/?search=Esaie+51%3A9-16&version=LSG
« Bientôt
celui qui est courbé sous les fers sera délivré ; Il ne mourra pas dans la
fosse, Et son pain ne lui manquera pas.
Je suis
l’Éternel, ton Dieu, Qui soulève la mer et fais mugir ses flots. L’Éternel des
armées est son nom.
Je mets mes
paroles dans ta bouche, Et je te couvre de l’ombre de ma main, Pour étendre de
nouveaux cieux et fonder une nouvelle terre, Et pour dire à Sion : Tu es mon
peuple ! » (Es 51 :14-16)
Deuxième texte : Jérusalem (La France http://www.villemagne.net/images/perso/la-vieille-ville-de-jerusalem.gif
) va se réveiller et à l’aide de
son roi se retourner contre ses oppresseurs. https://www.biblegateway.com/passage/?search=Esaie+51%3A17-23&version=LSG
« Ainsi parle ton Seigneur, l’Éternel, Ton Dieu, qui défend
son peuple : Voici, je prends de ta main la coupe d’étourdissement, La coupe de
ma colère ; Tu ne la boiras plus !
Je la mettrai dans la main de tes oppresseurs, Qui te disaient :
Courbe-toi, et nous passerons ! Tu faisais alors de ton dos comme une terre,
Comme une rue pour les passants. » (Es 51 :22-23)
Troisième
texte : Sion (L’Est de la France correspondant à l’esplanade sur temple)
va se réveiller et Dieu va parler en sa faveur :
https://www.biblegateway.com/passage/?search=Esaie+52%3A1-6&version=LSG
« Car
ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Jadis mon peuple descendit en Égypte, pour
y séjourner ; Puis l’Assyrien l’opprima sans cause.
Et
maintenant, qu’ai-je à faire, dit l’Éternel, Quand mon peuple a été
gratuitement enlevé ? Ses tyrans poussent des cris, dit l’Éternel, Et toute la
durée du jour mon nom est outragé.
C’est
pourquoi mon peuple connaîtra mon nom ; C’est pourquoi il saura, en ce jour, Que
c’est moi qui parle : me voici ! » (Es 52 :1-6)