Fiscalité, le crime contre l’humanité français (partie 2)
Je remercie tout d’abord les modérateurs d’Agoravox qui ont permis la publication de mon article intitulé « Fiscalité, le crime contre l’humanité français » et l’ouverture d’un débat tabou et interdit dans les médias de l’oligarchie Capital Socialiste.
On comprend très bien, au vu du crime fiscal, que les médias de « l’Etat profond », dit « mainstream », préfèrent donner le monopole de la parole à Eric Zemmour sur le thème de l’immigration, qu’ils favorisent d’ailleurs d’une autre main pour remplacer le travailleur français récalcitrant.
Mon article a fait l’objet de 63 commentaires, qui m’ont permis de réaliser que mon analyse ne recevait pas un accueil favorable et que beaucoup défendaient le système français d’asservissement par l’impôt.
Ces réactions relèvent parfois d’une certaine bêtise et de méconnaissance, de réflexes idéologiques conditionnés (culture socialiste inculquée aux enfants par l’Éducation Nationale), sont souvent le fruit de la mauvaise foi (mensonges) ou induites par l’intérêt ; tous ceux qui sont bénéficiaires de la redistribution sous toute ses formes : subvention (pour les plus riches), aides sociales, chômage, retraites, sont enclins à voir ce système d’une manière positive. Il y a aussi certainement un nombre non négligeable de victimes de ce terrorisme fiscal qui préfèrent adhérer à un sort dont elles n’ont pas le choix que s’y opposer. Ce qui est une variante du syndrome de Stockholm.
Seront donc exposés ici un certain nombre de points pour répondre, chiffres à l’appui, aux contradictions, affirmations mensongères et critiques qui m’ont été opposées, afin de poursuivre un débat nécessaire, mais tellement compliqué et segmentant qu’aucun candidat à l’élection présidentielle française n’a choisi la fiscalité comme cheval de bataille :
- Sur le taux d’imposition des revenus d’un chef d’entreprise de PME de 75%.
« Mensonge » pour les uns, « Faux » pour les autres. « Quels sont vos sources ? » me demande-t-on.
À les entendre, je serais un bonimenteur, ou au moins, un affabulateur outrancier. Ils appellent d’ailleurs sans vergogne la modération à me censurer. Tels les adeptes aveugles et furieux d’une secte dont je menacerais l’existence, ils voudraient me faire taire. Pourtant, les chiffres communiqués dans mon premier article, dont je suis la source directe, en tant que chef d’entreprise (PME), sont en dessous de la réalité.
La première remarque qui me vient est la suivante : beaucoup s’expriment, mais peu connaissent les véritables taux d’impositions qui pèsent sur le travail en France, et encore moins sur les entreprises. Ce qui ne les empêche pas d’affirmer n’importe quoi.
Les cotisations sociales, que certains refusent de considérer comme un impôt-et qui en sont pourtant un (appelez-les comme vous voulez, mais les mots ne changent pas la réalité, n’en déplaise aux socialistes adeptes de la novlangue)-, sont méconnues parce que cachée et nommées trompeusement sur les bulletins de paie.
La France, championne d’Europe des charges sociales.
Les médias reconnaissent 62% de charges sociales (cotisations salariales et patronales) payées par l’entreprise sur le salaire. Ils minorent la réalité de 20%. Sans doute parce qu’ils excluent les congés payés, et la prime de précarité (20%).
J’ai sous mes yeux un bulletin de paie.
Lorsque j’additionne les deux montants qui sont à ma charge en tant qu’employeur (charges salariales et charge patronales) très bien cachés dans la fiche de paie-de sorte que j’ai besoin de mon expert comptable pour décrypter ce que je paie à mes salariés-, je parviens à un total de 80% sur un salaire de 1850 euros. Soit une multiplication de 1,8 par rapport au salaire net versé à l’employé. Ce qui m’est confirmé par mon expert comptable. Un salaire de 1850 euros net coute 3330 euros en France. Il y a donc 80% de charges sur un salaire. Et non pas 75% comme je l’affirmais. Et 62% comme l’affirme la presse Capital Socialiste. Un petit chef d’entreprise, pour se salarier, ou pour salarier quiconque, doit donc payer à l’Etat 80% du montant du salaire net versé. Tel est d’ailleurs la raison du fort taux de chômage en France (deux fois celui des Etats-Unis). Paradoxe fiscal et social français : on fabrique des chômeurs pour payer les indemnités du chômage…
Mais plus encore.
Une fois que ce petit entrepreneur ce sera versé son salaire. Mettons qu’il gagne 3500 euros par mois, salaire moyen en France. Il devra encore s’acquitter de l’impôt sur le revenu (deuxième et troisième tranche 14% et 30%). Sur 42 000 euros se salaire annuel net, l’état prendra donc au petit directeur de PME, 33 600 euros au titre de charges sociales, et ensuite 7000 euros sur son salaire au titre de l’impôt sur le revenu, après abattements divers. L’Etat français capte donc sur les PME chaque année un montant équivalent à 100% des salaires versés. Double imposition concernant le salarié, chef d’entreprise, qui n’a pas d’autres employés, puisqu’il est seul à générer son résultat.
`Je vais aborder rapidement ici la TVA sur les produits vendus, dont les commerçants de biens fabriqués en Europe, ne récupèrent pas le dixième, et qui fait de l’Etat le plus grand bénéficiaire de leur activité.
Prenons ma situation : chaque année, je rapporte à l’Etat 200 000 euros (Impôts, taxes et TVA collectée et non récupérée comprise) alors que je gagne 42 000 net, soit 35 000 après impôt.
Pour 1 dans ma poche, 5,7 vont dans la poche de l’Etat. Dans l’autre sens, pour 5,7 euros que je gagne avec mon entreprise (bénéfice), je ne conserve qu’1. Vous le voyez nous sommes en réalité très au delà de 75% de taxe et d’impôt sur les revenus d’un chef d’entreprise (PME) et plus proche du servage que de l’imposition.
J’ai d’ailleurs décidé d’écrire cet article lorsque j’ai réalisé que j’avais versé 200 000 euros de taxe et impôts à l’Etat cette année, et que j’habite dans un appartement deux pièces de cinquante mètre carrés dont je suis toujours locataire… L’immobilier est devenu depuis la fin des années 90 l’objet d’une spéculation effréné et a considérablement et artificiellement augmenté du fait de la création monétaire (assouplissement quantitatif) ce qui m’a toujours dissuadé d’acheter.
Certains vont évidemment se moquer, pourtant c’est la réalité. J’habite dans le même appartement locatif depuis 25 ans que je n’ai d’ailleurs pas eu le temps de meubler correctement parce que je travaille 7 jours sur 7.
Aux charges sociales et à mes impôts sur le revenu, il faut ajouter l’impôt sur les bénéfices de ma société : 15% en dessous de 33 000 euros, 28% au delà. Et l’impôt sur des dividendes si je veux me verser les bénéfices que j’ai réalisés après impôt. Je n’en ai jamais pris, dissuadé par les impôts, et toujours tout réinvesti dans ma société.
Vous le voyez, le système est ignominieux et nous sommes bien en présence d’un crime fiscal organisé, d’autant que celui-ci ne vise qu’une catégorie de la population, puisque les multinationales échappent totalement ou presque à l’impôt avec leurs filiales domiciliées à l’étranger, et leurs productions localisées dans des pays ou la main d’œuvre ne vaut rien.
Pourquoi, me demanderez-vous, ce système si injuste perdure ?
Parce qu’il arrange tout le monde, ou presque : très riches, chômeurs, fonctionnaires, retraités, niches fiscales, et tous ceux qui bénéficient de la redistribution. Et j’en oublie.
Comme je l’expliquais dans mon article « Qu’est ce que le Capital Socialisme », les petits entrepreneurs payent très cher leur « liberté ». Et ce système fiscal « redistributif » met autant de boulets à leurs pieds qu’il y a de PME afin d’éviter qu’elles grappillent ou prennent les parts de marché des multinationales qui détiennent les vraies mannettes du pouvoir et prennent soin de conserver leurs monopoles avec un dispositif fiscal approprié. Une économie que je qualifie de néo féodale ou « chasse gardée », dont LVMH et Bernard Arnault sont le produit de luxe.
Ceci étant dit, je comprends que beaucoup ne puissent pas être d’accord avec ce que j’expose, parce que justement ils ne sont pas chefs d’entreprises et ne vivent pas dans la même réalité que moi. Au contraire, parfois ils profitent de cette « redistribution sociale ».
2. Sur la redistribution sociale.
Certain remarquent que je me plains du niveau de l’impôt, mais que je ne compte pas ce que l’Etat redistribue. Faisant valoir que l’Etat français redistribuerait 31% du PIB !
Parlons donc de la redistribution sociale avec un exemple concret, le mien.
Je n’ai pas d’enfant, probablement parce que je travaille sept jours sur sept, trois cent trente jours par an. La fiscalité disait Montesquieu, influe sur le taux de natalité.
Plus l’impôt est haut remarque t-il dans L’Esprit des Lois, moins il y a de naissance. Remarquons qu’une certaine catégorie de français, nouvellement naturalisés et pas très regardant sur l’éducation de leurs enfants, font beaucoup d’enfants, source principale de leurs revenus et de leurs exemptions fiscales ; enfants qui constitueront de la main d’œuvre payée au SMIC par les multinationales et autres promoteurs du grand remplacement…
On trouve ainsi des familles nombreuses du côté des très riches, et des immigrés. Mais rarement du côté des petits chefs d’entreprise surtaxés qui eux sont stérilisés par un impôt outrancier.
Passons rapidement sur l’école publique « gratuite », tout juste bonne à véhiculer les idées socialistes, dont le niveau a baissé si dramatiquement que la plupart des bacheliers ne savent plus ni écrire le français, ni le parler. L’université, qui fabrique essentiellement des professeurs socialistes prosélytes indispensables à la reproduction du système, des chômeurs, et des vendeurs au Mac Donald. Si vous voulez avoir un bon emploi dans le commerce, il vous faudra faire des études dans un lycée privé, donc payer. Faire une « prépa », donc payer. Et faire une école de commerce, donc encore payer.
Parlons maintenant de la santé, exception française ?
J’ai des problèmes de psoriasis –sans doute à cause du stress. Quatre mois d’attente pour un rendez vous chez un dermatologue. Huit mois pour l’autre. Pour un rendez-vous chez un opticien ordinaire c’est deux ou trois mois. Lorsque je vais chez un médecin spécialisé ou le dentiste (quand j’ai le temps) cela me coute 90 euros et je reçois ensuite un misérable chèque de la Sécurité Sociale de moins de 15 euros… Je paie donc 85% de mes dépenses de santé courantes. On m’avait parlé de la France, comme une terre d’accès aux soins d’exception. En voyageant j’ai pu constater que ceci était un mensonge de type soviétique que seuls ceux qui ne voyagent pas peuvent croire. Une consultation d’ORL dans un hôpital privé d’une capitale d’Amérique centrale coute 50 euros et s’obtient du jour sur le lendemain ! Consultation qui plus est d’excellente qualité. « Allez donc vivre là bas si c’est mieux ! » rétorquent ceux qui n’ont plus d’argument, feignant d’ignorer que cela est difficile, voir impossible de s’expatrier pour la plupart des petits chefs d’entreprises.
Les transports en France…
Malgré ce taux d’imposition exorbitant, on ne se déplace pas gratuitement en France. Loin de là. Les autoroutes sont payantes et chères. Les taxes sont responsables de 60% du prix des carburants. Le train hors de prix, même avec une carte de réduction de 50%. La SNCF, entreprise Capital Socialiste par excellence, a profité de ce que le Capital a supprimé l’avion sur certaines lignes intérieures françaises pour des raisons écologiques, pour doubler ses tarifs en quatre ans. « Nous vous remercions d’avoir choisi le train » entend t-on raisonner maintenant dans le train. Nous n’avons pas choisi, nous y avons été contraints. Petit détail qui importe peu au Capital Socialisme sur rail.
La police.
J’ai été victime de trois vols et escroqueries en dix ans. Jamais les délinquants n’ont été inquiétés. Et quand bien même je les ai pris en flagrant délit et les ai identifiés dans le procès verbal, le résultat a toujours été le même : affaire classée sans suite. Motif ? « Auteur des faits inconnu ». Est ce pour cela que les policiers se suicident constatant l’absurdité de leur mission ? Dans le second cas, un vol de marchandise, suivi de recel sur des sites de vente en ligne de produits d’occasion bien connus, propriétés de multinationales. La police a classé l’affaire sans suite. Quant à la Justice, après un dépôt de plainte avec constitution de parti civile, diligenté par un avocat, elle m’a demandé 10 000 euros de consignation pour faire son travail, hold-up auquel je n’ai pas cédé. Les délinquants ont pu écouler le stock devant mes yeux sans que je ne puisse rien faire…
Parlons de la Justice.
Certains articles de ma société ont été copiés par le plus grand équipementier du monde. Le procès a duré 7 ans et m’a couté plusieurs dizaines de milliers d’euros de frais d’avocats. Le dossier a été égaré par le greffe. Et j’ai finalement été débouté de toutes mes demandes par une magistrat (e) capitale socialiste. Malgré cent pièces probantes produites à l’appui des mes demandes, celles-ci ayant estimé que ma concurrente n’avait fait que démocratiser ma création. En plus d’avoir été volé, j’ai été condamné à payer 15 000 euros de frais de Justice à cette multinationale pourtant contrefactrice notoire.
Vous, le voyez, je ne parle pas de théorie. Mon parcours de petit chef d’entreprise est celui d’une « Justine, où les malheurs de la vertu » du Marquis de Sade. En face de moi, mon ennemi, le bourreau, le premier tortionnaire légal, l’Etat français, agit au nom de la « redistribution sociale » avec une brutalité digne de l’union soviétique, même s’il n’est pas communiste et travaille en réalité pour les grands monopoles du Capital privé.
Quant à l’utilisation qui est faite de l’impôt cela mériterait un article en plus, voir un livre.
Studio d’enregistrements dernier cris, maisons de la culture dans les cités défavorisées. « Œuvre d’art » sur les places « publiques » : sculptures et fresques Capital Socialistes aussi géantes et inutiles qu’absurdes, marques obscènes de la corruption d’un régime abjecte. Subvention de tout ce qui ne fonctionne pas. Subvention des logements sociaux au centre de Paris pour assurer une mixité de bonne conscience du socialisme en marche, qui abritent vendeurs de drogue et autres délinquants, tandis que le travailleur est exclu par des loyers exorbitants et contraint de s’exiler en Banlieue. Travaux colossaux et inutiles. A titre d’exemple, dans ma rue, sur l’espace temps d’une année, on a cassé le bitume trois fois : d’abord pour faire des places de motos ; trois mois plus tard pour faire des places de « vélib’’, et puis cassé encore pour faire d’autres places pour d’autres types de ‘vélib »… On refait ici des kilomètres de routes neuves pour faire plaisir à un ami entrepreneur en BTP, on ne fait pas là des travaux d’assainissement nécessaires. Dépenses irrationnelles, absurdes, démesurées, titanesques, partout, dans tous les domaines. En tant que chef d’entreprise vous gagnez chaque euros méticuleusement avec l’amour de votre travail, et l’Etat jette des semi-remorques de votre argent dans des cités de délinquants, ou dans le cratère du brasier insatiable de la subvention-corruption ; il finance avec votre argent les journaux de ceux qui vous écrasent et la télévision publique qui vous cache la vérité et vous divertit. Et l’on vous demande d’être heureux et de participer avec le sourire… On dit que le français se plaint tout le temps. Phrases répétée jusqu'à en faire une vérité dystopique. Un mensonge répété dix mille fois devient vérité disait Goebbels.
La France est divisé fiscalement, balkanisé, de sorte que chaque catégorie de français a des intérêts différents. Et cela est fait exprès. L’Etat français nous divise pour mieux régner. A cela s’ajoute le poison des idéologies, et notamment de l’idéologie socialiste, prodiguée à l’école publique par les professeurs du système sur les jeunes cerveaux, pâte à modeler… Que le parti socialiste n’ait plus de tête (Benoît Hamon, son dernier représentant, est parti se réfugier dans une ONG, l’équivalent d’un monastère pour un politicien), que la nouvelle main officiante de la redistribution sociale du Capital Socialisme soit un ancien banquier de chez Rothschild ne détournera pas les adeptes de cette secte. Une bonne secte résiste à toutes les contradictions. Les canardeaux continuent de suivre le canard même sans tête. Et, vu la connaissance qu’ont les français de l’économie, je crois que l’on ne pourra pas changer les choses en faisant appel aux intelligences. C’est la raison pour laquelle les candidats Présidents égocentriques et populistes qui se regardent dans leur miroir en se rasant le matin ne pensent jamais au peuple comme pluralité d’individus ou d’êtres humains, mais comme masse électorale abstraite. Ils parlent au peuple pour être crus, et non pas compris ; suivant en cela un autre précepte de Goebbels le propagandiste Nazi. On ne fait pas de politique en disant la vérité. C’est pour cela qu’on vous parle des musulmans et de l’identité nationale… Pour cacher le premier crime, qui est le crime fiscal.
Il faudra donc comme me le suggère un commentateur, partir, ou se supprimer. Avant cela, je terminerai sur l’indice de bonheur ressenti.
Les commentaires reçus lors de la publication de la première partie de cet article montrent que le chariot de la misère française est attelé à trois chevaux : la mauvaise foi (mensonge), la bêtise (ignorance), et la corruption (intérêts, fruit de la subvention, des aides sociales, etc.), idéologique, morale, ou économique, tropismes inévitables brouillant la vue du sujet qui n’est jamais objectif.
Sur l’indice du bonheur, si tant est qu’on puisse croire à la véracité d’un tel indice, à la méthode et à l’organisme qui fabrique cette notion très subjective. Un commentateur a prétendu que la France était classée dans les premiers pays européens. Il a menti. Elle est 21ème, ce qui est assez médiocre compte tenu de ce qu’elle a volé depuis des siècles sur tous les continents.
En première place on trouve l’Islande, une île, pas un paradis fiscal. Une île ou le citoyen paie des impôts rationnels, voit et mesure où vont ses impôts… impôts justes, équitables, modérés, dont le poids bienveillant repose sur tous, pour le bien commun.
Comment être heureux dans un pays ou vous enrichissez par votre travail un Etat ploutocrate que vous détestez parce qu’il prend la quasi intégralité du fruit de votre activité, le gaspille, et utilise les lois fiscales pour vous détruire au profit de vos concurrentes, monopoles, multinationales étrangères ? Tel est le paradoxe fiscal et social français.
On finit par se détester soi même. Par avoir un sentiment de culpabilité, parce que l’on accepte, on cautionne, et l’on contribue à son malheur. On se sent sale. Et l’envie de se supprimer nait, fait son chemin, et parfois se réalise. Dans tous les secteurs d’ailleurs. C’est pourquoi j’accuse Bercy de crime contre l’humanité. C’est pourquoi je dis que, comme le Stalinisme, et le Nazisme, le Capital Socialisme français, et son instrument, la fiscalité française, est un crime contre l’humanité dont les auteurs et les complices devront, tôt ou tard, répondre devant un tribunal approprié.
Il faudra néanmoins attendre. Car les esprits ne sont pas prêts à comprendre et à changer tandis que les corps sont corrompus de subventions et « d’aides sociales ». La guerre dit on, est la somme des combats que l’on a pas menés. Le combat contre l’injustice et la violence fiscale n’a pas commencé. S’il n’est pas mené, il y aura une guerre, une vraie, et tout cela se terminera dans un bain de sang. On vous montrera le Chinois, et on vous dira que tout est de sa faute. On épuisera sur une frontière lointaine dans une guerre Nationale, les velléités de contestation du peuple. C’est inévitable. Le consentement à l'impôt ne peut se faire que si l'Etat est juste et limité dans ses prérogatives. Dans sa version actuelle l'état « providence » est devenu une mafia qui extorque et rançonne une certaine catégorie de citoyens pour en nourrir et en acheter une autre. Les violences policières, fiscales et juridiques se sont substituées au consentement naturel. On ne peut pas être heureux sans consentement naturel à ce que nous donnons. Parce que nous sommes victimes de vol. Parce que la part de la personnalité qui nous est prise de force pour être mal dépensée est un viol qui nous pose un problème éthique profond et fondamental. Lorsque de telles actions sont perpétrées de manière systémique sur une catégorie de population, cela s’appelle bien un crime contre l’humanité, au titre de l’article 7 du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale.
Peter Kamchka
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