@Pierre Puisque vous êtes comme Linné pour la classification classique , en France il faut être classé , moi je réponds aux critiques suivants , j ai le coeur à gauche , le portefeuille à droite et le trou du cul au centre .
J aurais aime que mon portefeuille soit mieux garni .
Quoi qu il en soit , je me désespère , bien que vivant en ville désormais , je ne serais jamais un Bo Bo pure souche puisque j ai connu un vie campargnade et une certaine culture rurale , Il est vrai que cette dernière est moribonde .
Il n y a que la pub Herta pour nous redonner ces belles images du terroir
On peut critiquer les « Bo BO » , certes mais si la campagne et les politiques de décentralisation avaient ete plus attractives , je serais resté a la campagne
J avoue nénamoins que j ai une attirance pour la « boiétude » , je vivrais volontiers à « CHAM » ville par nature cosmopolite et ayant beaucoup d attraits .
A mons d être con , la Creuse profonde ne m attire guère .
Puisque cet auteur veut paraitre savant notamment dans sa conclusion , il aurait pu faire un bref liminaire sur la transformation de la ville , Il lui échappe qu auparavant en ville , il y a avait des bourgeois des ouvriers et ils se côtoyaient Ces deniers travaillaient non seulement dans des ateliers nombreux et dans des usines
A Paris Renaut par exemple a l ile Seguin
A Lyon les abattoirs etaient en centre ville avant d etre repousse a la périphérique comme le monde prolo , Une mutation de l urbanisme qui semble avoir échappe à l auteur .Cette mutation a façonné la sociéte francaise .par opposition au monde Bo BO , il y a la France périphérique , celle qui désespère et n est pas reconnu .