@L’Auteur.
Je souscrit pleinement.
« Où sont passés les grands principes de l’éthique médicale »
Ont se le demande justement, enfin pour certain seulement, la confiance aveugle dans les propos des « élites » semblent avoir plus d’effets que l’éthique et tous serments.
.Je pense que depuis longtemps, nous baignons dans une douce tranquillité médicale, Maladies classiques, soins classiques, etc. De temps à autre, un progrès technologique vient un peu chambouler les pratiques.
Bref, une gentille médecine routinière, qui au fil des décennies à un peu détourné le serment pour un job, comme un autre, plus ou moins rémunéré en fonction du secteur et du lieu d’exercice.
Certain faisant le choix d’exercer leur carrière dans une fonction protectrice de l’emploi. Il ne faut pas généraliser bien sur, car il en existe fort heureusement ayant la Foi. j’en connais quelques uns.
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Le monde de la santé baignait dans une sorte de léthargie bien heureuse, aidé en cela d’une abondance médicamenteuse bien orchestrée résolvant bien des problèmes majoritairement bénins. Râlait-on de temps à autres sur les conditions de travail, des horaires pas possibles qui associés à la diminution des effectifs ne permettait plus de bénéficier des avantages,
Bref, les éternelles litanies particulières au corps fonctionnarisé.
Râlait-ont aussi sur la suppression de lit, alors que parallèlement le temps passé dans les draps blancs était réduit par les « progrès » de la médecine.
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Tranquillement le monde de la santé était devenu un job comme un autre.
Puis est arrivé la bête, tirant véritablement le monde de la santé de sa léthargie sclérosante, de sa torpeur. La machine médicale tellement désemparée par l’abondance de malades et de morts était en panique.. Je n’irais pas jusqu’à dire que certains morts sont dus au temps de réaction mais....
Une partie du monde de la santé s’est remis au travail, le système hospitalier en fait, car pour le restant de ce monde, on attends toujours les résultats de leur remise au travail acharné pour aider leur confrères, dans une détresse technique portant sur les soins à donner.
Durant cette période, on ne soignait plus, on palliait, tout en respectant les dogmes et les principes organisationnels d’une « médecine classique », c’était presque de la « panique ».
Pendant ce temps les fidèles « mougeons » applaudissaient chaque soirs des personnes ne faisant que leur métier, aucun applaudissements n’a résonné pour ceux qui ont continué leur tache harassante leur permettant de vivre dans leur espace confiné.
A croire aussi que pendant cette période, il y avait plus de mathématiciens, de statisticiens dans le monde de la santé que de personnes se penchant réellement sur le sujet pour éradiquer la bête malfaisante.
De toute façon, tous les systèmes de santé, n’étaient pas structurés pour faire face à une épidémie comme celle-ci.
Si des « plans » existent pour augmenter momentanément le système de soins, rien n’existe pour augmenter momentanément la création, la recherche, la découverte de produits destinés au soins qui doivent être prodigués.
Je ne parle pas non plus de l’aspect logistique associé, notre dépendance étant scandaleusement énorme. Le pire c’est que je ne suis même pas sûr que cela change dans le futur, car faudra de l’argent, des espaces de stockages, bref tout un tas de choses qui coûterons dans l’attente d’une hypothétique nouvelle épidémie, qui si elle survient dans dix ans, fera les mêmes dégâts.
Au vu de vue que j’ai écrit, la remarque de votre jeune infirmier ne me surprend pas.
17/10 17:47 - June
Oui ce monde d’ignards et d’incultes devient aberrant. Vive les livres écrits des (...)
16/10 07:52 - Daruma
@eau-pression L’humour est assez efficace, c’est vrai. Le problème c’est la (...)
15/10 14:08 - Daruma
@eau-pression Ne pas croire une version officielle (par exemple l’incendie de la (...)
15/10 11:17 - Daruma
Il y a une chose que j’ai oublié de dire. Les anti-complotistes reconnaissent (...)
15/10 09:51 - Daruma
@eddofr Désolé de répondre aussi tard, j’étais très occupé ces derniers jours. Je (...)
13/10 17:02 - Jean Keim
Si nous prenons un peu de recul face à notre histoire, nous constatons que c’est toujours (...)
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