@eau-pression
J’ai testé l’adresse mél, test réussi. Et rien dans les indésirables. Bizarre. Pas de confusion « _ » et « - » ?
Certes, ce sujet n’est pas anodin, pas plus que celui de la prétendue dangerosité et inefficacité de l’hydroxycholoroquine, de la prétendue contagiosité des asymptomatiques, de la prétendue validité des tests PCR,...
Sur tous ces aspects, mais aussi plein d’autres qui ont façonnés les comportements des individus ces dernières décennies, les preuves d’abus de confiance sont pléthoriques...dès lors qu’on les voit !
Vous êtes peut-être particulièrement sensible aux preuves dans le domaine statistique, comme j’ai été particulièrement sensible à celles dans le domaine de la métallurgie et des structures.
Quoiqu’il en soit, notre situation est un peu celle de quelqu’un (A) qui voudrait convaincre son(sa) meilleur(e) ami(e) (B) qu’il/elle est honteusement « trompé-e » par son/sa conjoint-e (C). Tant que la personne B est sous emprise, elle persiste à éluder tout ce qui pourrait la sortir de son emprise et s’en réfère à C, précisément la personne qui abuse de sa confiance !!
Chacun peut imaginer la scène : B à C : « A m’a dit que blabla... Il m’a même montré une photo,... » . C à B : « mais comment tu peux croire A, oui cette photo... mais c’est pas du tout ce qu’il t’a dit, et blabla »... (éventuellement jouer sur la colère et/ou la culpabilité)... et ça marche, tout au moins pour une masse suffisamment importante de personnes !
C’est une chose que de découvrir les (énôooormes) failles des discours dont nous sommes abreuvés, s’en est une autre de comprendre les ressorts psychiques qui permettent ces mensonges à grande échelle, une autre encore de cerner s’il y a une intention et, si oui, de qui...