@Spartacus Lequidam
On
peut être « Libertarien
et
pour
la liberté d’expression » et
— Être
dérangé dans ses habitudes de penser, au point d’être réduit à
considérer sommairement comme des gauchistes ceux qui refusent de
les partager.
— Considérer
les chiffres publiés par “Contrepoint” comme plus crédibles que
toute autre référence « merdique de stats aux données
débiles ».
— Ignorer
que si richesse et pauvreté existent inéluctablement l’une par
l’autre, la pauvreté extrême est la première honte de
l’humanité, précisément parce que seul un obscurantisme égoïste
– de gauche comme de droite – empêche qu’elle soit éradiquée.
—
Être
incapable d’imaginer que ceux qui luttent pour cette éradication
puissent aussi compter –
ou avoir compté – parmi
les « entrepreneurs, les investisseurs et les
innovateurs qui nourrissent les pauvres ».
— Nier
l’évidence selon laquelle l’appât du gain, donc le
matérialisme, sont les conditions premières de l’accès à la
richesse. Il faut avoir envie d’être riche pour le devenir.
— Ignorer
qu’il existe des individus ne confondant pas bonheur et confort
matériel, et qui par conséquent jalousent nullement ceux qu’ils
considèrent comme libres d’avoir l’ambition d’être riches
matériellement ou autrement.
— Considérer
comme haineux, raciste et anti-riche un graphique (schéma) ayant
pour objet de représenter toute société fondée sur l’altérité
et l’interdépendance hiérarchisée de ses membres.
—
Comparer
niaisement richesse matérielle et attraits physiques.
— Prétendre
que le monde en a fini avec la famine, alors qu’elle menace de
déborder à bref terme des pays qui en sont encore victimes.
— …
Faut-il
être sot et dérangé par des vérités somme toute bien banales, pour en arriver là !
Pour toutes précisions et arguments à l’appui de ce qui précède, voir https://pyramidologiesociale.blogspot.com